Ils ne connaissent pas la crise. Même si leurs échoppes restent ouvertes moins longtemps en raison du couvre-feu, les primeurs gardent le sourire. Et chez Sarah Guimbi, ancienne ingénieure reconvertie dans la vente de fruits et légumes péyi à Sainte-Rose, les recettes n'ont pas baissé.
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Chez Sarah, le citron, le miel, le gingembre et le curcuma, sont devenus les vedettes des étals. Depuis le début du confinement, ses ventes n'ont pas baissé, bien au contraire. Elles sont dopées par des clients plus nombreux venus faire le plein de vitamines et d'antioxydants.
Sarah Guimbi sait bien que rien ne sera plus comme avant. Mais le huis-clos forcé de toute une population, a donné des ailes à sa petite échoppe.
A (re)voir le reportage de Marie-Lyne Plaisir et Thierry Gayadine :
Le confinement et après
La jeune Sainte-Rosienne pense aussi au lendemain du confinement. Pour éviter les ruptures de stock, elle a fait ses provisions de miel. Près d une centaine de litres pour éviter les ruptures de stocks. Une commande inespérée pour Alex Grenot venu tout droit de Vieux-Habitants, pour livrer plusieurs cartons de miel. Depuis plus d'un mois, l'apiculteur se démène pour vendre l'or de ses ruches et pour éviter la faillite. En effet, il n'a plus de marché à livrer alors il lui reste les primeurs et quelques magasins pour sauver sa production.Sarah Guimbi sait bien que rien ne sera plus comme avant. Mais le huis-clos forcé de toute une population, a donné des ailes à sa petite échoppe.
A (re)voir le reportage de Marie-Lyne Plaisir et Thierry Gayadine :