Le sport c’est bon pour la santé. Comme l’énonce si bien l’adage, une activité physique régulière, améliore la croissance infantile, fortifie le squelette et favorise surtout une bonne concentration. Autant de bonnes raisons pour encourager les enfants à pratiquer un sport.
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Outre les activités propices à l’amusement et la créativité, « l’enfant à besoin de pratiquer une activité sportive pour son bon développement sur le plan physique, social et cognitif » rappelle Julien Bois enseignant-chercheur en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) et spécialiste en psychologie du sport.
Il est nécessaire de trouver une activité sportive qui lui plaît et non pas balancer une fortune par la fenêtre pour un sport pour lequel il n’aurait pas d’affinités. Guider sa progéniture en tant que parents afin de trouver un loisir selon ses goûts est la méthode adéquate pour une année scolaire et sportive réussie.
Le choix du sport doit se faire en fonction du profil de l’enfant. Pour les timides et les réservés le choix d’un sport de combat est plus adapté (escrime, judo, karaté, Kung Fu). Pour ne pas qu’il "se cache dans un trou de souris", le sport collectif incite les enfants timides à aller vers les autres et encourage l’effort de groupe. Au contraire, si l’enfant est très actif, il faut trouver des astuces pour canaliser son surplus d’énergie. Le judo, la boxe, le taekwondo sont des disciplines ou les règles sont strictes et le respect est de rigueur. Un « petit diable » qui se chamaille tout le temps dans la cour de récré ou qui présente une forme d’agressivité à besoin d’un cadre, les arts martiaux sont un moyen d’apaiser son agressivité.
Peu importe le sport qu’il a choisi, il ne faut pas que celui-ci empiète sur son travail scolaire, même si la pratique régulière du sport produit des effets bénéfiques sur l’organisme. Il faut noter que, le cœur et les poumons se développent d’autant plus dans les sports d’endurance, ce qui promet des bénéfices plus tard à l’âge adulte. Les os et les muscles se renforcent quand ils sont sollicités, ils sont les premiers bénéficiaires d’une activité physique récurrente qui prémunit du surpoids infantile, véritable problème de santé publique.
Il est nécessaire de trouver une activité sportive qui lui plaît et non pas balancer une fortune par la fenêtre pour un sport pour lequel il n’aurait pas d’affinités. Guider sa progéniture en tant que parents afin de trouver un loisir selon ses goûts est la méthode adéquate pour une année scolaire et sportive réussie.
Sport collectif ou individuel
Le choix du sport doit se faire en fonction du profil de l’enfant. Pour les timides et les réservés le choix d’un sport de combat est plus adapté (escrime, judo, karaté, Kung Fu). Pour ne pas qu’il "se cache dans un trou de souris", le sport collectif incite les enfants timides à aller vers les autres et encourage l’effort de groupe. Au contraire, si l’enfant est très actif, il faut trouver des astuces pour canaliser son surplus d’énergie. Le judo, la boxe, le taekwondo sont des disciplines ou les règles sont strictes et le respect est de rigueur. Un « petit diable » qui se chamaille tout le temps dans la cour de récré ou qui présente une forme d’agressivité à besoin d’un cadre, les arts martiaux sont un moyen d’apaiser son agressivité.
La régularité au sport
Peu importe le sport qu’il a choisi, il ne faut pas que celui-ci empiète sur son travail scolaire, même si la pratique régulière du sport produit des effets bénéfiques sur l’organisme. Il faut noter que, le cœur et les poumons se développent d’autant plus dans les sports d’endurance, ce qui promet des bénéfices plus tard à l’âge adulte. Les os et les muscles se renforcent quand ils sont sollicités, ils sont les premiers bénéficiaires d’une activité physique récurrente qui prémunit du surpoids infantile, véritable problème de santé publique.