Une réduction d’impôt pour les classes moyennes, une retraite minimale à mille euros, un nouvel acte de décentralisation, ou encore des classes de 24 élèves maximum de la grande section au CE1, ce sont les principales mesures annoncées hier par Emmanuel Macron.
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Le président de la République a donc présenté hier ses réponses à la crise des Gilets jaunes et aux problématiques soulevées lors du Grand Débat National.
La principale mesure annoncée concerne donc la réduction de l’impôt sur le revenu pour les classes moyennes. Cette baisse devrait bénéficier à 15 millions de foyers fiscaux, a précisé ce matin le Premier ministre et elle devrait être d’environ 10 % pour les contribuables concernés, avec une entrée en vigueur dès janvier 2020.
S’agissant du pouvoir d’achat, le chef de l’Etat a annoncé une réindexation de toutes les retraites sur l’inflation d’ici 2021, et une retraite minimale de mille euros pour une carrière complète. Emmanuel Macron écarte l’idée de repousser l’âge légal de départ à la retraite au-delà de 62 ans, mais il propose d’allonger la période de référence.
Concernant la démocratie directe, malgré les demandes nées notamment des revendications des Gilets Jaunes, le président de la République a indiqué qu’il ne « retiendra pas » le vote obligatoire, ni la reconnaissance du vote blanc. Il écarte aussi le RIC, le référendum d’initiative citoyenne, mais propose d’aller plus loin sur le référendum d’initiative partagée. Le chef de l’Etat souhaite également renforcer le droit de pétition au niveau local.
Par ailleurs, dans le domaine de l'éducation, le Président de la République a annoncé son intention de revaloriser la profession d'enseignant. Il ne veut pas plus de 24 élèves par classe, de la grande section de maternelle jusqu’au CE1.
Une intervention du chef de l’Etat qui suscite bien entendu des réactions dans la classe politique locale. Parmi les réactions politiques locales, celle du député guadeloupéen apparenté Modem Max Mathiasin, plutôt dubitatif sur les annonces du président de la République, qui lui ont paru même parfois contradictoires
Selon Nadège Montout, candidate sur la liste de « La France Insoumise » aux élections européennes, Emmanuel Macron n’a pas répondu à la colère de la rue.
A l’ouest, rien de véritablement nouveau, estime la Fédération départementale du Parti Socialiste.
Autre réaction, celle de la présidente de la Fédération guadeloupéenne du parti « les Républicains », Sonia Pétro
Beaucoup plus enthousiaste, naturellement la réaction de Mael Disa, le délégué de LREM pour la Guadeloupe
La principale mesure annoncée concerne donc la réduction de l’impôt sur le revenu pour les classes moyennes. Cette baisse devrait bénéficier à 15 millions de foyers fiscaux, a précisé ce matin le Premier ministre et elle devrait être d’environ 10 % pour les contribuables concernés, avec une entrée en vigueur dès janvier 2020.
S’agissant du pouvoir d’achat, le chef de l’Etat a annoncé une réindexation de toutes les retraites sur l’inflation d’ici 2021, et une retraite minimale de mille euros pour une carrière complète. Emmanuel Macron écarte l’idée de repousser l’âge légal de départ à la retraite au-delà de 62 ans, mais il propose d’allonger la période de référence.
Concernant la démocratie directe, malgré les demandes nées notamment des revendications des Gilets Jaunes, le président de la République a indiqué qu’il ne « retiendra pas » le vote obligatoire, ni la reconnaissance du vote blanc. Il écarte aussi le RIC, le référendum d’initiative citoyenne, mais propose d’aller plus loin sur le référendum d’initiative partagée. Le chef de l’Etat souhaite également renforcer le droit de pétition au niveau local.
Par ailleurs, dans le domaine de l'éducation, le Président de la République a annoncé son intention de revaloriser la profession d'enseignant. Il ne veut pas plus de 24 élèves par classe, de la grande section de maternelle jusqu’au CE1.
Une intervention du chef de l’Etat qui suscite bien entendu des réactions dans la classe politique locale. Parmi les réactions politiques locales, celle du député guadeloupéen apparenté Modem Max Mathiasin, plutôt dubitatif sur les annonces du président de la République, qui lui ont paru même parfois contradictoires
Max Mathiasin, Député de la Guadeloupe
Nadège Montout, « La France Insoumise »
Hilaire Brudey,1er secrétaire de la fédération guadeloupéenne du Parti Socialiste
Autre réaction, celle de la présidente de la Fédération guadeloupéenne du parti « les Républicains », Sonia Pétro
Sonia Pétro, présidente de la Fédération guadeloupéenne du parti « les Républicains »
Beaucoup plus enthousiaste, naturellement la réaction de Mael Disa, le délégué de LREM pour la Guadeloupe
Mael Disa, le délégué de LREM pour la Guadeloupe