Une question au coeur des journées Antilles-Guyane d’addictologie. Aujourd'hui, l’utilisation excessive d’internet, des réseaux sociaux, sans oublier les jeux vidéo pose un véritable problème de santé publique qui entraine des déchéances sociales.
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32 millions de Français sont inscrits sur un réseau social (Facebook, Instagram, Twitter...), 28 millions possèdent un Smartphone, 9 millions ont une tablette. Nous consultons au minimum 150 fois notre portable et autant de fois ses applications.
Aujourd’hui, on « surfe », on « tchat », on télécharge, on partage, on like, on tweet, on poste, sur Instagram, Facebook, Snapchat. On est bombardé de mails auxquels on répond à toute heure, on est joignable, partout et tout le temps !
Mais cette hyperconnexion a influé sur notre sommeil, notre concentration, notre rapport aux autres, nos façons de lire, de regarder, de travailler, d’organiser nos journées. Pas forcément en mal, pas nécessairement en bien. Mais les conséquences sont nombreuses.
Les spécialistes appellent cela l’hyperconnexion et les dégâts sont considérables sur nous. L'hyperconnexion est une addiction reconnue aujourd’hui par le milieu médical.
Mathieu lui se reconnaît aujourd'hui comme Cyber-addict
Et de ces addictions, il en sera question tout au long de la semaine et ce jusqu’au 8 novembre, à l’occasion des JAGA, les journées Antilles-Guyane d’addictologie. Avec un thème fort : "De la connexion nécessaire à l’addiction, où sommes-nous ?"
A VOIR AUSSI :
- L'hyperconnexion : Emission "La tête au carré", Mardi 6 juin 2017. France Inter
Mais cette hyperconnexion a influé sur notre sommeil, notre concentration, notre rapport aux autres, nos façons de lire, de regarder, de travailler, d’organiser nos journées. Pas forcément en mal, pas nécessairement en bien. Mais les conséquences sont nombreuses.
Mathieu lui se reconnaît aujourd'hui comme Cyber-addict
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