La Fête du crabe annulée, le confinement rallongé, Pâques, cette année 2020, sera sans toute la famille, sans camping, et pour certains, sans crabes. Et les kabriyèlè font grise mine.
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Ils comptaient sur Pâques et ses traditions... Mais le coronavirus est passé par là... Conséquence, pas de Fête du crabe, à Morne-à-l'Eau, cette année. De plus, le confinement décrété par le gouvernement pour freiner la propagation du Covid-19, a également freiné l'activité des kabriyèlè de l'archipel.
Certains vendeurs de crabes ont trouvé la solution. Plusieurs d'entre eux se sont tournés vers les réseaux sociaux pour vendre leur marchandise, proposant aux internautes des points de rendez-vous pour récupérer leurs crabes. Par exemple, sur le groupe Loka-Lité sur Facebook, mettant en contact producteurs locaux et clients, une fois les annonces postées, les kabryièlè ont été assaillis de commandes.
Mais tous les professionnels n'ont pas eu cette chance...
A (re) voir le reportage d'Emmanuel Gombauld et Christian Danquin :
Les kabriyèlè en difficulté
Le crabe trône traditionnellement sur nos tables, en cette période. Cuisiné en calalou, matété, dombrés, etc. Il est toujours au rendez-vous, même quand la récolte n'est pas bonne. Et cette année, les kabriyèlè, les chasseurs de crabes, subissent de plein fouet la crise actuelle. Comment y font-ils face ?Certains vendeurs de crabes ont trouvé la solution. Plusieurs d'entre eux se sont tournés vers les réseaux sociaux pour vendre leur marchandise, proposant aux internautes des points de rendez-vous pour récupérer leurs crabes. Par exemple, sur le groupe Loka-Lité sur Facebook, mettant en contact producteurs locaux et clients, une fois les annonces postées, les kabryièlè ont été assaillis de commandes.
Mais tous les professionnels n'ont pas eu cette chance...
A (re) voir le reportage d'Emmanuel Gombauld et Christian Danquin :