En pleine crise du Covid-19, l’Union Générale des Travailleurs de la Guadeloupe engage un bras de fer judiciaire avec l’Agence Régionale de Santé et le Centre Hospitalier Universitaire de la Guadeloupe en portant plainte dans ce dossier.
•
L’organisation syndicale est donc passée à l’acte ce mercredi (25 mars) matin en déposant une plainte contre l’Agence Régionale de Santé et le CHU de la Guadeloupe, dans la gestion de la crise du Covid-19 en Guadeloupe.
D’abord sans attendre, "d’hypothétiques mesures d’autorisation ou de réquisition" que l’ARS et le CHU, chacun pour ce qui le concerne, passe commande en nombre suffisant de tests de dépistage, environ 200 000 c’est-à-dire la moitié de la population.
Ensuite l’organisation exige qu’il soit fait injonction aux deux établissements de passer commande des doses nécessaires au traitement par l’hydroxychloroquine et l’Azitrhromycine, comme défini par l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection, soit pour 20 000 patients.
En clair, en pleine crise du Covid-19, l’UGTG qui, depuis le début a toujours considéré que l’Etat et l’autorité sanitaire n’avaient pas pris la mesure et la gravité de la situation, se saisit aujourd’hui des outils judiciaires mis à disposition pour se faire entendre.
A (re) voir le reportage de Gilbert Pincemail :
L'UGTG demande des tests de dépistage et des médicaments
Un référé dans lequel l’UGTG réclame deux choses.D’abord sans attendre, "d’hypothétiques mesures d’autorisation ou de réquisition" que l’ARS et le CHU, chacun pour ce qui le concerne, passe commande en nombre suffisant de tests de dépistage, environ 200 000 c’est-à-dire la moitié de la population.
Ensuite l’organisation exige qu’il soit fait injonction aux deux établissements de passer commande des doses nécessaires au traitement par l’hydroxychloroquine et l’Azitrhromycine, comme défini par l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection, soit pour 20 000 patients.
En clair, en pleine crise du Covid-19, l’UGTG qui, depuis le début a toujours considéré que l’Etat et l’autorité sanitaire n’avaient pas pris la mesure et la gravité de la situation, se saisit aujourd’hui des outils judiciaires mis à disposition pour se faire entendre.
A (re) voir le reportage de Gilbert Pincemail :