La commission d’enquête chlordécone termine ses travaux en Guadeloupe ce matin. Les députés vont entendre les élus et les associations de consommateurs et de défense de l’environnement.
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Au cours des auditions de vendredi, plusieurs questions ont été soulevées et notamment celle-ci : Pourquoi les analyses chlordécone dans les sols antillais ne sont-elles pas réalisées sur place aux Antilles, au lieu d’être confiées à un laboratoire situé dans l’hexagone ? D’autant qu’à ce jour, 84 % des terres potentiellement polluées par la molécule doivent faire l’objet de prélèvements pour mesurer la contamination.
Une interrogation qui avait déjà été exprimée jeudi par le directeur de l’Institut Pasteur de la Guadeloupe, dans le cadre des auditions menées par la commission d’enquête parlementaire sur l’impact de la pollution par ce pesticide. L’établissement privé assure déjà les analyses dans nos eaux.
Travailler avec un laboratoire local permet bien sûr de recevoir les résultats beaucoup plus vite, même si la prestation est plus chère. Dr Antoine Talarmin, directeur de l’Institut Pasteur,
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Travailler avec un laboratoire local permet bien sûr de recevoir les résultats beaucoup plus vite, même si la prestation est plus chère. Dr Antoine Talarmin, directeur de l’Institut Pasteur,
Dr Antoine Talarmin, directeur de l’Institut Pasteur,