L'avenir de France Ô se dessine... Le 27 juin prochain, les dirigeants et les syndicats de la chaîne dédiée à l'outre-mer seront auditionnés à l'Assemblée nationale par les députés et sénateurs ultramarins. Une audition importante pour les salariés.
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Les dirigeants et les représentants de salariés de France Ô, chaîne de France Télévisions dédiée aux outre-mer, seront auditionnés mercredi par les délégations des outre-mer de l'Assemblée et du Sénat et l'intergroupe parlementaire des outre-mer, sur l'avenir de la chaîne.
La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, a indiqué début juin, en présentant la réforme de l'audiovisuel public, qu'il faudrait "déterminer si l'avenir est au maintien de France Ô sur le canal hertzien ou au contraire au renforcement des offres numériques des Outre-Mer Première".
Une intersyndicale des salariés de la chaîne a appelé lundi 18 juin, les responsables politiques et les téléspectateurs à se mobiliser pour sauver la chaîne et "la maintenir sur la TNT".
Une pétition "#SauvonsFranceÔ" a été lancée lundi. Elle recueillait ce vendredi après-midi (22 juin) 3 730 signatures.
Vers une motion de défense des élus ultramarins ?
L'objectif de ces auditions, à l'Assemblée, est "qu'ils nous expliquent les problématiques et qu'on puisse, le cas échéant, prendre une motion de défense auprès des pouvoirs publics, notamment exécutifs", a expliqué le président de la délégation des Outre-mer à l'Assemblée Olivier Serva, dans une déclaration sur le site Facebook du collectif "Sauvons France O".La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, a indiqué début juin, en présentant la réforme de l'audiovisuel public, qu'il faudrait "déterminer si l'avenir est au maintien de France Ô sur le canal hertzien ou au contraire au renforcement des offres numériques des Outre-Mer Première".
Une intersyndicale des salariés de la chaîne a appelé lundi 18 juin, les responsables politiques et les téléspectateurs à se mobiliser pour sauver la chaîne et "la maintenir sur la TNT".
Une pétition "#SauvonsFranceÔ" a été lancée lundi. Elle recueillait ce vendredi après-midi (22 juin) 3 730 signatures.