Les radars tourelles bientôt une réalité chez nous. Les premières entrées en fonction sont prévues en janvier 2019. Un bilan d’étape a été présenté aux maires de Guadeloupe par la préfecture. Et vous verrez que ces radars présenteront quelques subtilités...
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Nous vous l’annoncions il y a quelques semaines, les radars tourelles vont débarquer en Guadeloupe. Notre archipel fait partie, avec la Martinique, d’une expérimentation pour réduire le nombre de tués sur les routes. Ces radars automatiques nouvelle génération sont capables de flasher les automobilistes dans plusieurs cas d’infractions au code de la route.
L'automobiliste guadeloupéen n'aura qu'à bien se tenir. Les services de l'Etat prévoient de mettre en place une centaine de mâts pouvant accueillir ces dispositifs automatiques, nouvelle génération.
Impossible pour le conducteur de savoir à l'avance si le mât est équipé ou pas d'un des 20 radars commandés. Car, les 20 radars ne seront pas fixes. Ils seront déplacés de façon aléatoire dans les 100 mâts. (Pour exemple, un jour, un radar pourra être placé sur un mât situé à Trois-Rivières et être, un autre jour, sur un mât à Petit-Canal). Certains mâts sont d’ailleurs déjà visibles.
Ce nouveau système est une bonne nouvelle pour Jean-Claude Pioche, président de l'association des maires de Guadeloupe : "J'espère que ce dispositif permettra de faire baisser le nombre de tués sur les routes de Guadeloupe".
Les sites ont déjà été choisis. Actuellement, une étude technique a lieu. Elle durera jusqu'à fin août. Les premières poses sont prévues à partir du moins d'octobre. Première mise en service à partir du début d'année prochaine. Le dispositif devrait être entièrement opérationnel d'ici juillet 2019.
L'Etat veut faire baisser de manière significative le nombre de morts sur nos routes. La Préfecture cherche à responsabiliser les automobilistes psychologiquement en réduisant la vitesse.
Une centaine de points fixes pour 20 radars
Pour la Guadeloupe, 20 radars tourelles sont prévus. De quoi faire baisser significativement la vitesse, selon la préfecture, qui a présenté le dispositif la semaine dernière aux maires, réunis en assemblée générale.L'automobiliste guadeloupéen n'aura qu'à bien se tenir. Les services de l'Etat prévoient de mettre en place une centaine de mâts pouvant accueillir ces dispositifs automatiques, nouvelle génération.
Impossible pour le conducteur de savoir à l'avance si le mât est équipé ou pas d'un des 20 radars commandés. Car, les 20 radars ne seront pas fixes. Ils seront déplacés de façon aléatoire dans les 100 mâts. (Pour exemple, un jour, un radar pourra être placé sur un mât situé à Trois-Rivières et être, un autre jour, sur un mât à Petit-Canal). Certains mâts sont d’ailleurs déjà visibles.
Ce nouveau système est une bonne nouvelle pour Jean-Claude Pioche, président de l'association des maires de Guadeloupe : "J'espère que ce dispositif permettra de faire baisser le nombre de tués sur les routes de Guadeloupe".
Responsabiliser l'automobiliste
Si ces dernières années, il y a moins de morts, le constat est là, le nombre d'accidents augmente, leur violence aussi.Les sites ont déjà été choisis. Actuellement, une étude technique a lieu. Elle durera jusqu'à fin août. Les premières poses sont prévues à partir du moins d'octobre. Première mise en service à partir du début d'année prochaine. Le dispositif devrait être entièrement opérationnel d'ici juillet 2019.
L'Etat veut faire baisser de manière significative le nombre de morts sur nos routes. La Préfecture cherche à responsabiliser les automobilistes psychologiquement en réduisant la vitesse.