1.800 postes seront supprimés l'an prochain dans l'Education Nationale. En revanche, le budget sera augmenté de 850 millions d'euros, c’est qu’a annoncé hier Jean-Michel Blanquer. Annonce que les syndicats de l'Education en Guadeloupe accueillent avec appréhension
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Selon le ministre de l'Education Nationale, ces suppressions de postes ne concerneront que "le second degré (collèges et lycées) et les services administratifs". Dans des proportions qu’il reste à définir mais environ 1.400 postes d’enseignants et 400 postes administratifs seraient concernés.
Même si, pour l’heure, on ne connaît pas encore le nombre de postes supprimés en Guadeloupe, Jean-Michel Blanquer confirme que « le volume d’enseignement sera maintenu à travers le recours aux 2 heures supplémentaires qui sont exonérés de cotisations salariales, donc plus de rémunérations ». Les syndicats d’enseignants sont plutôt déçus par cette annonce.
Pour Gustave Byram, du syndicat Unsa Enseignant comme pour Teddy Tancons du SNCL-FAEN, la 1ère conséquence de cette annonce sera le burn-out des enseignants.
4.500 postes qui seront supprimés au total dans la fonction publique d'État en 2019 et plus de 10.000 en 2020.
Même si, pour l’heure, on ne connaît pas encore le nombre de postes supprimés en Guadeloupe, Jean-Michel Blanquer confirme que « le volume d’enseignement sera maintenu à travers le recours aux 2 heures supplémentaires qui sont exonérés de cotisations salariales, donc plus de rémunérations ». Les syndicats d’enseignants sont plutôt déçus par cette annonce.
Pour Gustave Byram, du syndicat Unsa Enseignant comme pour Teddy Tancons du SNCL-FAEN, la 1ère conséquence de cette annonce sera le burn-out des enseignants.
Gustave Byram, du syndicat Unsa Enseignant