Ils avaient rendez-vous hier soir avec le Préfet pour évoquer les points de discorde qui les ont poussés à manifester sur les routes depuis bientôt une semaine. Une rencontre qui les a plutôt satisfaits, même s'ils en attendent confirmation.
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C'est sans aucune conviction au préalable quant à l'utilité de la rencontre avec le Préfet que les membres de la délégation de l'intersyndicale des taxis se sont rendus au rendez-vous qui avait été demandé le matin même par Simon Vainqueur, le président de la Chambre de Métiers.
La rencontre a malgré tout duré plus de deux heures, le temps pour les chauffeurs de taxi d'exposer leurs problèmes et surtout, de faire comprendre leur réalité ordinaire, notamment, dans l'exercice de leur fonction sur le port de croisière, l'une des pierres d'achoppement dans la crise entre eux et le sous-préfet de Pointe-à-Pître.
Et visiblement, ils ont été entendus puisque le représentant de l'Etat qui avait formulé un projet d'arrêté contestés par l'intersyndicale, accepte de ne plus limiter l'accès du port à seulement 80 taxis comme le projet le prévoyait.
Tout n'est cependant pas définitivement réglé. Il faut encore attendre la rencontre de vendredi entre l'intersyndicale et le préfet. Mais à l'issue de la réunion, les chauffeurs parlaient eux-mêmes d'avancée :
Il faut maintenant entendre l'avis de la base. Elle pourra s'exprimer dés ce soir, lors d'une assemblée générale de l'Intersyndicale.
La rencontre a malgré tout duré plus de deux heures, le temps pour les chauffeurs de taxi d'exposer leurs problèmes et surtout, de faire comprendre leur réalité ordinaire, notamment, dans l'exercice de leur fonction sur le port de croisière, l'une des pierres d'achoppement dans la crise entre eux et le sous-préfet de Pointe-à-Pître.
Et visiblement, ils ont été entendus puisque le représentant de l'Etat qui avait formulé un projet d'arrêté contestés par l'intersyndicale, accepte de ne plus limiter l'accès du port à seulement 80 taxis comme le projet le prévoyait.
Tout n'est cependant pas définitivement réglé. Il faut encore attendre la rencontre de vendredi entre l'intersyndicale et le préfet. Mais à l'issue de la réunion, les chauffeurs parlaient eux-mêmes d'avancée :