Au regards croisés de l’exposition Gabriel Garcia Marquez/Edouard Glissant au MACTe, qui sera clôturée dimanche,s’ajoutent deux jours de séminaire jusqu’à vendredi soir sur la création littéraire caribéenne des deux auteurs.
•
En relation avec l'exposition qui leur est consacrée, Le MACTe organisait aujourd'hui un séminaire sur « Gabriel Garcia Marquez, Édouard Glissant. Solitude et Relations » , en présence de Sylvie Glissant, directrice de l'Institut du Tout-monde.
9 auteurs internationaux, venus de de la Guadeloupe, de la Martinique, des Etas-Unis, d’Amerique latine et de la Caraïbe ont pu livrer leurs analyses des œuvres des deux géants Garcia-Marquez et Glissant devant un large public. L’un d’entre eux, Ariel Castillo Mier s’est exprimé sur l'intérêt d'une telle juxtaposition de ces deux grands auteurs dans un tel colloque. Docteur en littérature espagnome ,il est professeur à l’Université de L’Atlantique, Barranquilla en Colombie. Pour lui :
Le séminaire s'achèvera demain matin avec trois interventions :
- Delia Blanco, Docteur en littérature et anthropologie, Professeur d’Art et littératures comparées de la Caraïbe, l'Université de Santo Domingo, République Dominicaine : "Edouard Glissant, Gabriel Garcia Marquez, une narratologie caribéenne en partage."
- Axel Arthéron, Docteur en Arts du spectacle, Maître de Conférences en études théâtrales dans la Caraïbe, département de Lettres de l’Université des Antilles: « Edouard Glissant dramaturge »
- Gaëlle Combé, Inspecteur Pédagogique Régional d'espagnol, Académie de Guadeloupe : « La Caraïbe : l’espace littéraire de GGM »
L'EXPOSITION
Développée sur 700m², La Caraïbe: Solitude et Relation propose au visiteur un parcours rythmé de grandes thématiques présentant les auteurs, leurs écritures, leurs dires et leurs legs. Elle raconte également la Caraïbe, son histoire et son expérience singulières qui sont peut-être des éléments de réponse aux défis que lance le Vivre ensemble au reste du monde en ce 21ème siècle naissant
9 auteurs internationaux, venus de de la Guadeloupe, de la Martinique, des Etas-Unis, d’Amerique latine et de la Caraïbe ont pu livrer leurs analyses des œuvres des deux géants Garcia-Marquez et Glissant devant un large public. L’un d’entre eux, Ariel Castillo Mier s’est exprimé sur l'intérêt d'une telle juxtaposition de ces deux grands auteurs dans un tel colloque. Docteur en littérature espagnome ,il est professeur à l’Université de L’Atlantique, Barranquilla en Colombie. Pour lui :
Nés de la même mère, la mer caraïbe, mais avec pères et caractères différents, Garcia Marquez et Glissant représentent deux façons d’être de l’intellectuel caribéen : l’intuitif et le théorique ; les héritages hispaniques et français qui se rencontrent sur le pont Faulkner et devant un lieu commun : la Caraïbe insulaire et continentale. Leurs œuvres illuminent et libèrent des peurs un mode relationnel, beaucoup plus adonné aux dialogues et aux métissages qu’à l’animosité et aux guerres.
- Delia Blanco, Docteur en littérature et anthropologie, Professeur d’Art et littératures comparées de la Caraïbe, l'Université de Santo Domingo, République Dominicaine : "Edouard Glissant, Gabriel Garcia Marquez, une narratologie caribéenne en partage."
- Axel Arthéron, Docteur en Arts du spectacle, Maître de Conférences en études théâtrales dans la Caraïbe, département de Lettres de l’Université des Antilles: « Edouard Glissant dramaturge »
- Gaëlle Combé, Inspecteur Pédagogique Régional d'espagnol, Académie de Guadeloupe : « La Caraïbe : l’espace littéraire de GGM »
L'EXPOSITION
Développée sur 700m², La Caraïbe: Solitude et Relation propose au visiteur un parcours rythmé de grandes thématiques présentant les auteurs, leurs écritures, leurs dires et leurs legs. Elle raconte également la Caraïbe, son histoire et son expérience singulières qui sont peut-être des éléments de réponse aux défis que lance le Vivre ensemble au reste du monde en ce 21ème siècle naissant