C’est un procès emblématique qui devait s’ouvrir ce jeudi matin au tribunal correctionnel de Basse-Terre. Des associations et des militants ont assigné l’Etat en justice pour demander réparation pour les siècles d’esclavage. Mais, l’audience a été renvoyée au 1er juin.
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Ce devait être une première en Guadeloupe.
Hier matin devait s’ouvrir le procès intenté par des associations et collectifs comme le MIR (le mouvement international pour les réparations) pour demander réparations à l’Etat pour les siècles d’esclavage dans les anciennes colonies françaises.
L’audience a finalement été reportée au 1er juin à la demande des parties civiles.
Hier matin devait s’ouvrir le procès intenté par des associations et collectifs comme le MIR (le mouvement international pour les réparations) pour demander réparations à l’Etat pour les siècles d’esclavage dans les anciennes colonies françaises.
L’audience a finalement été reportée au 1er juin à la demande des parties civiles.