Mardi, un enfant de 2 ans et demi était retrouvé flottant dans la piscine familiale, à la Grippière, Petit-Bourg. L'intervention des pompiers a permis que le petit garçon soit réanimé. Conduit au CHU de Pointe-à-Pitre, il est malheureusement décédé, hier.
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C'est un nouveau drame domestique qui vient endeuiller une famille.
Mardi, vers 17 heures, un garçonnet de 2 ans et demi était retrouvé flottant à la surface de la piscine du domicile familial. Pris en charge par les pompiers, l'enfant était finalement ranimé et conduit au CHU, conscient.
Mercredi, son état était tout de même jugé préoccupant, par les médecins. L'enfant est décédé hier.
Une enquête, confiée à la brigade de Petit-Bourg, a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.
Il s'agit du deuxième accident de ce type, en quelques jours. Dimanche, un autre petit garçon, du même âge est décédé par noyade, au domicile de ses parents, à Vieux-Habitants.
Selon l'institut national de prévention et d'éducation pour la santé, en France, la noyade est la première cause de mortalité par accident de la vie courante chez les moins de 15 ans, devant les suffocations, les accidents par le feu puis les chutes.
Les enfants de moins de 6 ans représentent 15 % des décès par noyade accidentelle chaque année.
Face à ce constat, le ministère chargé de la santé et ses partenaires dont l’Inpes mènent des actions de prévention des noyades et des accidents liés aux baignades et sports nautiques pour apprendre aux enfants à nager et pour informer parents et enfants des gestes à adopter pour se baigner et pratiquer une activité nautique en toute sécurité.
Pour les spécialistes, il semble clair qu'il est inutile de vouloir changer le comportement des jeunes enfants, par nature curieux et immatures. Par contre, il faut faire comprendre aux parents qu'entre 2 et 4 ans, on doit les surveiller sans cesse.
Le cas des noyades est un bon exemple : dans les trois quarts des cas, les parents sont à moins de 20 mètres de la piscine. Mais ils font autre chose.
Dans le cas de Petit-Bourg, la piscine était équipée de barrières. Selon France Antilles, le portillon aurait été mal verrouillé. L'enfant a échappé à la surveillance des parents.
Par ailleurs un enfant sans surveillance peut se noyer dans 20 cm d’eau en quelques minutes.
Le petit garçon est malheureusement décédé
Mardi, vers 17 heures, un garçonnet de 2 ans et demi était retrouvé flottant à la surface de la piscine du domicile familial. Pris en charge par les pompiers, l'enfant était finalement ranimé et conduit au CHU, conscient.
Mercredi, son état était tout de même jugé préoccupant, par les médecins. L'enfant est décédé hier.
Une enquête, confiée à la brigade de Petit-Bourg, a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.
Deux noyades d'enfants en une semaine
Il s'agit du deuxième accident de ce type, en quelques jours. Dimanche, un autre petit garçon, du même âge est décédé par noyade, au domicile de ses parents, à Vieux-Habitants.
Selon l'institut national de prévention et d'éducation pour la santé, en France, la noyade est la première cause de mortalité par accident de la vie courante chez les moins de 15 ans, devant les suffocations, les accidents par le feu puis les chutes.
Les enfants de moins de 6 ans représentent 15 % des décès par noyade accidentelle chaque année.
Face à ce constat, le ministère chargé de la santé et ses partenaires dont l’Inpes mènent des actions de prévention des noyades et des accidents liés aux baignades et sports nautiques pour apprendre aux enfants à nager et pour informer parents et enfants des gestes à adopter pour se baigner et pratiquer une activité nautique en toute sécurité.
La surveillance des parents doit être renforcée
Pour les spécialistes, il semble clair qu'il est inutile de vouloir changer le comportement des jeunes enfants, par nature curieux et immatures. Par contre, il faut faire comprendre aux parents qu'entre 2 et 4 ans, on doit les surveiller sans cesse.
Le cas des noyades est un bon exemple : dans les trois quarts des cas, les parents sont à moins de 20 mètres de la piscine. Mais ils font autre chose.
Dans le cas de Petit-Bourg, la piscine était équipée de barrières. Selon France Antilles, le portillon aurait été mal verrouillé. L'enfant a échappé à la surveillance des parents.
Par ailleurs un enfant sans surveillance peut se noyer dans 20 cm d’eau en quelques minutes.