Une réunion du comité de suivi du dossier de l'Ecole Raphaël Jolivière a abouti ce vendredi 29 mars 2019 sur la décision de déménager les classes vers les établissements de Lauricisque et d'Amédé Fengarol.
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Les élèves de l'ensemble scolaire Raphaël Jolivière à Pointe-à-Pitre vont bientôt retrouver le chemin des cours. Ce vendredi 29 mars 2019, lors d'une réunion du comité de suivi mis en place après la fermeture de l'établissement le 14 mars dernier, il a été décidé de déménager les classes du groupe scolaire vers les établissements de Lauricisque et d'Amédé Fengarol. Cela concerne les quelques 500 élèves et 49 enseignants et personnels d'encadrement des 3 écoles du groupe. Le déménagement s’opèrera à partir du lundi 8 avril pendant que les travaux de remise aux normes des batiments scolaires se poursuivront. Les enfants n’auront pas cours la semaine prochaine, du 1er au 5 avril. Un délai qui devrait permettre aux services municipaux de préparer le déménagement.
Cet établissement regroupe une école maternelle et une école primaire. Dans un courrier daté du 8 février dernier, Jean-Michel Jumez, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, a informé la directrice de l’établissement que la commission d’arrondissement pour la sécurité avait émis un avis défavorable à la poursuite de l’exploitation. Les bâtiments sont de véritables passoires et font eaux de toutes parts avec des portes coupe-feu hors service. Ces manquements aux règles de sécurité vennaient s’ajouter à 9 prescriptions émises en janvier 2017 par cette même commission d’arrondissement en prévention des risques d’éclosion et de propagation d’incendie. Elles n'avaient pas, jusqu'a la réunion de ce vendredi 29 mars 2019, été suivies d'effets. .
Plusieurs raisons à la fermeture des écoles du groupe
Insalubrité des locaux, non respect des normes de sécurité, plusieurs critères ont motivé la fermeture administrative du groupe scolaire.Cet établissement regroupe une école maternelle et une école primaire. Dans un courrier daté du 8 février dernier, Jean-Michel Jumez, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, a informé la directrice de l’établissement que la commission d’arrondissement pour la sécurité avait émis un avis défavorable à la poursuite de l’exploitation. Les bâtiments sont de véritables passoires et font eaux de toutes parts avec des portes coupe-feu hors service. Ces manquements aux règles de sécurité vennaient s’ajouter à 9 prescriptions émises en janvier 2017 par cette même commission d’arrondissement en prévention des risques d’éclosion et de propagation d’incendie. Elles n'avaient pas, jusqu'a la réunion de ce vendredi 29 mars 2019, été suivies d'effets. .