La CFTC des territoriaux de Guadeloupe veut savoir dans quelles conditions Cap Excellence a embauché Christian Gatoux. Ce dernier a été recruté comme conseiller spécial sur l'eau et aurait perçu, selon le syndicat, une rémunération bien supérieure à ce que prévoient les textes.
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Christian Gatoux, qui était directeur général, au sein de la communauté d'agglomération Cap Excellence, a fait valoir son droit à la retraite, en mai 2020.
Il a, depuis, été remplacé par son adjoint : Bruno Pierrepont.
Mais le jeune retraité ne s'est pas effacé, pour autant, de la vie publique et politique ; l'homme a gardé un rôle de conseiller spécial sur l'eau, auprès du président Eric Jalton.
La semaine dernière, c'est d'ailleurs ce même Christian Gatoux qui a représenté Cap Excellence et Eau d'excellence, à la réunion des élus, pour organiser la gouvernance de l'eau, suite à la dissolution annoncée du SIAEAG.
Christian Gatoux, donc, est au cœur du nouveau bras de fer, qui oppose la CFTC au président de Cap Excellence.
Son recrutement, dans ses nouvelles fonctions de consultant, pose un problème au syndicat. La CFTC réclame des éclaircissements sur la rémunération de Christian Gatoux, qui dépasserait largement les dispositions du code des marchés publics, s'agissant le travail fourni. Dans sa démarche, pour obtenir plus de transparence, la Confédération française des travailleurs chrétiens ne tourne pas autour du pot : elle a saisi le comptable public, qui a pour mission de vérifier les actes budgétaires
Le syndicat demande que les documents liés au contrat de Christian Gatoux lui soit communiqué, comme le permet le code général des collectivités territoriales.
Ces pièces auraient déjà été réclamées, au président d'Eau d'Excellence, la régie des eaux de la communauté d'agglomération de Cap Excellence.
La CFTC réclame également des informations sur les titres de recettes émis à l'encontre de Christian Gatoux.
Ce n'est pas la première fois que le syndicat tente d'obtenir des documents administratifs sur la situation du personnel de Cap Excellence... mais sans succès.
Cette fois, il tente de contourner les résistances, en saisissant directement le comptable public.
La CFTC affirme que sa seule volonté est d'aboutir à la transparence administrative.
Il a, depuis, été remplacé par son adjoint : Bruno Pierrepont.
Mais le jeune retraité ne s'est pas effacé, pour autant, de la vie publique et politique ; l'homme a gardé un rôle de conseiller spécial sur l'eau, auprès du président Eric Jalton.
La semaine dernière, c'est d'ailleurs ce même Christian Gatoux qui a représenté Cap Excellence et Eau d'excellence, à la réunion des élus, pour organiser la gouvernance de l'eau, suite à la dissolution annoncée du SIAEAG.
Christian Gatoux, donc, est au cœur du nouveau bras de fer, qui oppose la CFTC au président de Cap Excellence.
Son recrutement, dans ses nouvelles fonctions de consultant, pose un problème au syndicat. La CFTC réclame des éclaircissements sur la rémunération de Christian Gatoux, qui dépasserait largement les dispositions du code des marchés publics, s'agissant le travail fourni. Dans sa démarche, pour obtenir plus de transparence, la Confédération française des travailleurs chrétiens ne tourne pas autour du pot : elle a saisi le comptable public, qui a pour mission de vérifier les actes budgétaires
Le syndicat demande que les documents liés au contrat de Christian Gatoux lui soit communiqué, comme le permet le code général des collectivités territoriales.
Ces pièces auraient déjà été réclamées, au président d'Eau d'Excellence, la régie des eaux de la communauté d'agglomération de Cap Excellence.
La CFTC réclame également des informations sur les titres de recettes émis à l'encontre de Christian Gatoux.
Ce n'est pas la première fois que le syndicat tente d'obtenir des documents administratifs sur la situation du personnel de Cap Excellence... mais sans succès.
Cette fois, il tente de contourner les résistances, en saisissant directement le comptable public.
La CFTC affirme que sa seule volonté est d'aboutir à la transparence administrative.