La grande journée nationale de mobilisation a rassemblé dans les rues des enseignants et des salariés toujours en colère mais moins nombreux que pour le premier appel à la grève nationale du 5 décembre.
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Le raz de marée contre la réforme des retraites n’a pas eu lieu. A Pointe-à-Pitre, environ 150 personnes ont battu le pavé. En tête de cortège, les enseignants majoritairement représentés par l’U.N.S.A.
Dans le défilé également des agents pénitentiaires et des fonctionnaires des services de l’état sous les couleurs de Force Ouvrière. Une poignée d’agents communaux venue de la Basse-Terre et de la Côte sous le Vent et des salariés du privé ont marché sous la bannière de la CGT.
Tous sont inquiets pour leur retraite. « Nous ce que l’on demande, c’est que l’on parte de ce qui existe aujourd’hui et qu’on l’améliore mais pas que l’on casse ce qui existe actuellement en France » lance Marc, 39 ans, agent des services de l’état pour l’aménagement du Territoire.
« Nous les enseignants, nous serons sans doute les plus touchés par cette réforme des retraites, on perdra entre 600 et 800 euros par mois, c’est inadmissible » martèle Gustave BYRAM secrétaire Général de l’U.N.S.A Education
Au Gosier, au Moule, à Sainte-Anne, à Saint-François, aux Abymes, à Petit-Bourg, les grilles de nombreux établissements scolaires étaient cadenassées.
Selon le rectorat, la grève a été suivie dans le premier degré par 12% des enseignants et 42,86 % des professeurs dans le second degré.
Dans le défilé également des agents pénitentiaires et des fonctionnaires des services de l’état sous les couleurs de Force Ouvrière. Une poignée d’agents communaux venue de la Basse-Terre et de la Côte sous le Vent et des salariés du privé ont marché sous la bannière de la CGT.
Tous sont inquiets pour leur retraite. « Nous ce que l’on demande, c’est que l’on parte de ce qui existe aujourd’hui et qu’on l’améliore mais pas que l’on casse ce qui existe actuellement en France » lance Marc, 39 ans, agent des services de l’état pour l’aménagement du Territoire.
« On fait partie des salariés qui exerçons les métiers les plus pénibles. Aujourd’hui lorsque l’on travaille 5 ans, on gagne un an pour la retraite. Si on ne se mobilise pas contre cette réforme on va perdre cet avantage » s’alarme Rodrigue, 55 ans, surveillant pénitentiaire et retraité dans un an.
« Nous les enseignants, nous serons sans doute les plus touchés par cette réforme des retraites, on perdra entre 600 et 800 euros par mois, c’est inadmissible » martèle Gustave BYRAM secrétaire Général de l’U.N.S.A Education
Au Gosier, au Moule, à Sainte-Anne, à Saint-François, aux Abymes, à Petit-Bourg, les grilles de nombreux établissements scolaires étaient cadenassées.
Selon le rectorat, la grève a été suivie dans le premier degré par 12% des enseignants et 42,86 % des professeurs dans le second degré.