Depuis la loi de juillet 2000, la représentativité des femmes parmi les élus est remarquable en Guadeloupe. Dans les conseils municipaux, départementaux et régionaux, la parité est quasiment atteinte. Là où aucune loi n’impose de manière directe la parité, la situation est plus contrastée.
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Ainsi, dans les six intercommunalités, il y a 44 % de conseillères communautaires, ce qui est comparable aux autres DOM et bien supérieur au niveau national (31 %).
Mais les postes exécutifs locaux restent majoritairement masculinisés. Les trois-quarts des postes de maires et les deux tiers des postes de présidents et vice-présidents dans les intercommunalités sont occupés par des hommes.
En Guadeloupe, les femmes élues sont généralement plus jeunes que leurs homologues masculins. Elles représentent la majorité des élus municipaux de moins de 45 ans.
En Guadeloupe, huit des 32 maires sont des femmes. Malgré tout, la région reste la plus paritaire de France, devant le Centre-Val de Loire et l’Île-de-France qui comptent 20 % de femmes maires.
En Guadeloupe, plus on s’approche de la fonction de maire, plus les fonctions sont occupées par des hommes. Il y a 28 % de femmes parmi les premiers adjoints et 48 % parmi les seconds adjoints, soit tout de même dix points de plus qu’au niveau national. Au 1er mars 2019, deux des six intercommunalités sont présidées par des femmes, elles représentent également 30 % des vices-présidents. Cette situation reste plus paritaire que dans le reste de la France où seulement 8 % des intercommunalités sont dirigées par des femmes.
À l’échelle régionale, la parité est respectée au niveau de l’exécutif. Le conseil régional de Guadeloupe est présidé par un homme, tandis que le conseil départemental l’est par une femme. Les vice-présidences des deux conseils sont occupées pour moitié par des femmes.
Les femmes guadeloupéennes sont également bien représentées dans les chambres basse et haute du Parlement. Elles occupent la moitié des sièges guadeloupéens à l’Assemblée nationale et un des trois sièges au Sénat. Au niveau national, avec 39 % de députées et 32 % de sénatrices, la parité est encore loin d’être atteinte même si elle progresse.
Mais les postes exécutifs locaux restent majoritairement masculinisés. Les trois-quarts des postes de maires et les deux tiers des postes de présidents et vice-présidents dans les intercommunalités sont occupés par des hommes.
En Guadeloupe, les femmes élues sont généralement plus jeunes que leurs homologues masculins. Elles représentent la majorité des élus municipaux de moins de 45 ans.
En Guadeloupe, huit des 32 maires sont des femmes. Malgré tout, la région reste la plus paritaire de France, devant le Centre-Val de Loire et l’Île-de-France qui comptent 20 % de femmes maires.
En Guadeloupe, plus on s’approche de la fonction de maire, plus les fonctions sont occupées par des hommes. Il y a 28 % de femmes parmi les premiers adjoints et 48 % parmi les seconds adjoints, soit tout de même dix points de plus qu’au niveau national. Au 1er mars 2019, deux des six intercommunalités sont présidées par des femmes, elles représentent également 30 % des vices-présidents. Cette situation reste plus paritaire que dans le reste de la France où seulement 8 % des intercommunalités sont dirigées par des femmes.
À l’échelle régionale, la parité est respectée au niveau de l’exécutif. Le conseil régional de Guadeloupe est présidé par un homme, tandis que le conseil départemental l’est par une femme. Les vice-présidences des deux conseils sont occupées pour moitié par des femmes.
Les femmes guadeloupéennes sont également bien représentées dans les chambres basse et haute du Parlement. Elles occupent la moitié des sièges guadeloupéens à l’Assemblée nationale et un des trois sièges au Sénat. Au niveau national, avec 39 % de députées et 32 % de sénatrices, la parité est encore loin d’être atteinte même si elle progresse.