C'est en tout cas ce que Pierre Thépot. Le directeur de l’hôpital met fin aux rumeurs et aux inquiétudes de l’UTS. Selon lui, personne n’est en danger. Les odeurs incommodantes ressenties dans certains services sont dues aux travaux de déshumidification
Le doute peut donc être levé. Il n’y a pas de pyralène au CHU. Le directeur du Centre Hospitalier Universitaire a réagi ainsi aux inquiétudes de l’UTS-UGTG, qui affirmait qu’un transformateur électrique fonctionnant au pyralène se trouvait dans le local technique, d’où est parti l’incendie du 28 novembre.
Le syndicat craignait ainsi la présence possible de dioxine dans le système de climatisation et demandait des analyses de l’air. Pierre Thépot est catégorique : il n’y a jamais eu de pyralène, et donc ni les patients, ni le personnel ne sont en danger au CHU.
Le syndicat craignait ainsi la présence possible de dioxine dans le système de climatisation et demandait des analyses de l’air. Pierre Thépot est catégorique : il n’y a jamais eu de pyralène, et donc ni les patients, ni le personnel ne sont en danger au CHU.
Pierre Thépot, directeur du CHU Pointe-à-Pître/Abymes