C'est dans un contexte sanitaire particulièrement tendue que se joue, une nouvelle fois, l'avenir de France Antilles. En effet, si la date du 1er avril avait été annoncée comme celle de la reprise, aujourd'hui encore, la réalité, elle, est tout autre. Et ceci, à tous les niveaux.
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Quoi de pire qu'un virus pour perturber les pages d'un quotidien, déjà bien Cornélien !
C'est ce que vit, avec acuité, France Antilles.
Pour rappel, l'offre de reprise de la société NJJ, Holding personnel de Xavier Niel a été validée début mars par le tribunal de commerce de Fort de France. A cette époque, le 1er avril est la date retenue pour la résurrection du seul quotidien des Antilles-Guyane.
A deux jours de cette échéance cette perspective sonne comme une illusion.
Un vrai poisson d'avril, indépendamment de ce courrier du jour émanant des Ressources Humaines de l'entreprise indiquant qu'une prise de parole aurait bien lieu ce mercredi,, par téléphone avec les repreneurs de la société NJJ et les salariés, ainsi qu'une adresse mail communiquée pour toutes questions relatives aux licenciements.
Coté syndicats, on ne se fait pas d'illusions, car les faits sont têtus : à l'imprimerie les machines sont à l'arrêt depuis le 30 janvier, aucune maintenance effectuée ; concernant les locaux , aucun nettoyage n'a été réalisé…
Fabrice M'Toumo Délégué syndical UTT UGTG
Et pour couronner le tout : le Corona qui fait son entrée, donc les salariés bien évidemment confinés !
C'est dans ce climat, cette nébuleuse que France Antilles se débat.
Pour rappel sur les 96 salariés que comptait l'entreprise, 28 sont licenciés, les effectifs se réduiraient donc à 68 personnels maintenus sur le site de Guadeloupe.
C'est ce que vit, avec acuité, France Antilles.
Pour rappel, l'offre de reprise de la société NJJ, Holding personnel de Xavier Niel a été validée début mars par le tribunal de commerce de Fort de France. A cette époque, le 1er avril est la date retenue pour la résurrection du seul quotidien des Antilles-Guyane.
A deux jours de cette échéance cette perspective sonne comme une illusion.
Un vrai poisson d'avril, indépendamment de ce courrier du jour émanant des Ressources Humaines de l'entreprise indiquant qu'une prise de parole aurait bien lieu ce mercredi,, par téléphone avec les repreneurs de la société NJJ et les salariés, ainsi qu'une adresse mail communiquée pour toutes questions relatives aux licenciements.
Coté syndicats, on ne se fait pas d'illusions, car les faits sont têtus : à l'imprimerie les machines sont à l'arrêt depuis le 30 janvier, aucune maintenance effectuée ; concernant les locaux , aucun nettoyage n'a été réalisé…
Fabrice M'Toumo Délégué syndical UTT UGTG
Fabrice M'Toumo Délégué syndical UTT UGTG
Fabrice M'Toumo Délégué syndical UTT UGTG
Et pour couronner le tout : le Corona qui fait son entrée, donc les salariés bien évidemment confinés !
C'est dans ce climat, cette nébuleuse que France Antilles se débat.
Pour rappel sur les 96 salariés que comptait l'entreprise, 28 sont licenciés, les effectifs se réduiraient donc à 68 personnels maintenus sur le site de Guadeloupe.