L'insertion des personnes porteuse de la Trisomie 21, toujours un problème en Guadeloupe

La journée nationale de la trisomie 21 aura été l'occasion de s'interpeller sur la réalité des personnes porteuses de la trisomie 21 et particulièrement sur leur possibilité d’accéder au logement et aux autres commodités ordinaires. Des pas qui restent à franchir en Guadeloupe
Ce dimanche 18 novembre était la journée nationale de la trisomie 21. Si la trisomie 21 demeure la cause principale du retard mental chez les personnes déficientes intellectuelles, elle reste mal connue du grand public.
En Guadeloupe, les associations comme l’association pour les personnes handicapées et avec trisomie 21, ainsi que le C.A.J.I.T.L, le Centre d’Activités de Jour d’Initiation au Travail et aux Loisirs, militent pour l’insertion sociale des personnes porteuses.
Hier, la journée avait  donc pour objectif de permettre à tout un chacun d’entrer en contact et faire connaissance avec elles. Au-delà des discours et des intentions, de faire évoluer notre regard et les mentalités. Ce n’est pas une maladie mais un accident génétique…
Focus sur le problème d’accès au logement des adultes.

Michèle Robin, vice-présidente de l’AGIPHT 21,

Michèle Robin, vice-présidente de l’AGIPHT 21,

A.G.I.P.H.T. 21 : Association Guadeloupéenne pour l'Insertion des Personnes Handicapées et porteuses de Trisomie 21