Christian Céleste, le porte-parole du bureau politique du PCG, appelle les présidents de département, de région et l’association des maires à faire preuve d’autonomie vis-à-vis de Paris. Revenir à la table des discussions avec le collectif des organisations permettrait de ne pas « cautionner » le plan de l’Etat :
« une stratégie de domination sans partage du pouvoir central »
Pour le PCG le démantèlement du piquet de grève du collectif au CHU n’aurait pour vocation que d’envenimer le conflit. Une sorte de division de la Guadeloupe. Une guerre à « double détente » selon Christian Céleste contre une majorité des Guadeloupéens, en claire les personnes non vaccinées.
Deux solutions pour le Parti à la faucille et au marteau : soit la Guadeloupe se couche, soit il y aura résolution dans la rue. Christian Céleste laisse planer un Mai 1967. L’homme politique dénonce aussi la manifestation contre la violence qui a eu lieu au Mémorial Acte…
« 200 à 600 » personnes qui prétendent parler au nom d’une société civile « introuvable »
En début d’année, le PCG avait dénoncé l’exaspération des soignants victimes d’une violence de l’Etat au CHU. L’organisation politique demande à ce qu’il y ait une véritable compréhension des racines de ce phénomène.
Des racines politiques et culturelles. L’objectif c’est de comprendre avec l’espoir que les élus s’engagent et réparent.