Nous sommes le 8 mars, journée internationale des droits des femmes… Une journée pour réfléchir sur les conditions des femmes dans le monde et pour continuer à lutter contre les inégalités entre les sexes. Et sur le marché du travail la route vers l'égalité semble encore bien longue en Guadeloupe.
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Ainsi en Guadeloupe, le taux d’emploi des femmes est le 3ème plus faible de France, après la Guyane et la Réunion. Le taux de chômage des 25-54 ans est chez nous de 32,5 % chez les femmes, contre 23 % chez les hommes. L'écart entre le taux de chômage des femmes et celui des hommes en Guadeloupe est 5 fois plus élevé que dans l'hexagone avec une différence de 9 points en défaveur des femmes. Cette inégalité s'amplifie, en Guadeloupe, alors qu'elle se réduit sur le territoire national.
Alors que les femmes guadeloupéennes sont pourtant de plus en plus diplômées et plus diplômées que les hommes. Un quart des femmes guadeloupéennes sont diplômées dans le supérieur contre 19,5% pour les hommes.
Le tableau n'est pas complètement noir, puisque les inégalités salariales demeurent mais se réduisent et sur ce point, nous faisons légèrement mieux que l'Hexagone. Même si les inégalités restent très élevées pour les cadres et les ouvrières guadeloupéennes.
Voir :
Il faut savoir que le droit au travail pour les femmes, en France, est le résultat d’un long combat. Ce droit n’a été acquis qu’en 1965. Il y a donc seulement 51 ans. Mais en réalité, les femmes ont toujours travaillé. Un travail longtemps invisible et non rémunéré.
En Guadeloupe, ces inégalités s'expliqueraient par la part importante de femmes vivant seules avec leur ou leurs enfants.
Cette jouréne est aussi l'occasion de mener des réflexions sur leur place dans notre société.. Quel est par exemple L'engagement des femmes dans la vie politique et citoyenne en Guadeloupe? C'est le thème d'une initiative menée par une femme, Josette Borel-Lincertin, la présidente du Conseil Départemental
A l'occasion de ce rendez vous, la présidente du Conseil Départemental a confié à Justine BENIN, une mission autour du droit de la femme...
Alors que les femmes guadeloupéennes sont pourtant de plus en plus diplômées et plus diplômées que les hommes. Un quart des femmes guadeloupéennes sont diplômées dans le supérieur contre 19,5% pour les hommes.
Le tableau n'est pas complètement noir, puisque les inégalités salariales demeurent mais se réduisent et sur ce point, nous faisons légèrement mieux que l'Hexagone. Même si les inégalités restent très élevées pour les cadres et les ouvrières guadeloupéennes.
Voir :
Il faut savoir que le droit au travail pour les femmes, en France, est le résultat d’un long combat. Ce droit n’a été acquis qu’en 1965. Il y a donc seulement 51 ans. Mais en réalité, les femmes ont toujours travaillé. Un travail longtemps invisible et non rémunéré.
En Guadeloupe, ces inégalités s'expliqueraient par la part importante de femmes vivant seules avec leur ou leurs enfants.
Cette jouréne est aussi l'occasion de mener des réflexions sur leur place dans notre société.. Quel est par exemple L'engagement des femmes dans la vie politique et citoyenne en Guadeloupe? C'est le thème d'une initiative menée par une femme, Josette Borel-Lincertin, la présidente du Conseil Départemental
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