Il y a 10 ans, le Lyannaj kont Pwofitasyon a rassemblé des milliers de manifestants. Le mouvement prend une autre tournure le 24 janvier... De 2000 manifestants, ils passent à plus de 60 000... Voici l'histoire d'une adhésion populaire.
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Il y a 10 ans, leurs revendications, étaient la vie chère, l'eau, le prix des transports... Ils avaient un mot d'ordre, la lutte contre la "pwofitasyon".
A (re) voir le reportage de Ludivine Guiolet-Oulac :
Selon le LKP, ils ont parfois été jusqu'à 100 000 à défiler dans les rues contre la vie chère, pour des lendemains meilleurs en Guadeloupe. 10 ans après, le sujet est encore sensible. Nous avons recceuilli le témoignage d'un militant et d'une guadeloupéenne. ils évoquent les principales raisons de leur engagement.
A (re) voir le reportage de Marie-Lyne Plaisir et Christian Danquin :
Comment expliquer un tel engouement populaire. Des éléments de réponse avec Luciani Lanoir-L'étang, docteure en anthropologie, invitée du journal télévisé le 24 janvier 2019 :
Le mouvement LKP prend de l'ampleur
Au plus fort du mouvement, ils étaient près de 60 000 guadeloupéens à marchés dans les rues de Pointe à Pitre pour dénoncer la pwofitasion. 146 points étaient inscrit au cahier de revendications. 44 jours de mobilisations intense et tendue marquée quelquefois par des affrontements violents avec les forces de l’ordre et bien sur la mort du syndicaliste Jacques Bino.A (re) voir le reportage de Ludivine Guiolet-Oulac :
Selon le LKP, ils ont parfois été jusqu'à 100 000 à défiler dans les rues contre la vie chère, pour des lendemains meilleurs en Guadeloupe. 10 ans après, le sujet est encore sensible. Nous avons recceuilli le témoignage d'un militant et d'une guadeloupéenne. ils évoquent les principales raisons de leur engagement.
A (re) voir le reportage de Marie-Lyne Plaisir et Christian Danquin :