Pourtant, tout cela s'est arrêté un jour. Prématurément. Trop tôt.Elle n’avait que 22 ans ! Elle se promettait une carrière lumineuse, après ses études de psychologie à l’Université de Toulouse. Toujours tout sourire, avenante, chaleureuse, agréable envers tous, elle voulait vivre ardemment, se mettre au service des autres, une générosité renforcée par ses convictions religieuses, un tempérament bien trempé, très volontaire de surcroît, elle était sure de ses capacités de battante !
La jeune femme de 22 ans, asthmatique, est décédée dans des circonstances qui restent à éclaircir pour ses parents. Elle est morte dans leurs bras le 3 octobre 2016. Et le récit qu'ils en font est laconique, comme la mort :
Pour autant, depuis 3 ans, ils ne peuvent pas faire le deuil de leur fille.Elle finissait des vacances bien méritées, avant de repartir rejoindre son jeune frère, pour l’installer en tant que futur étudiant, à Toulouse bien sur. Mais, contre toutes attentes, ce lundi 3 octobre 2016, elle ne savait pas avoir rendez-vous avec la mort au Centre Médical de TABANON à Petit- Bourg, entre sa mère et trois personnels médicaux ; deux médecins, une pharmacienne
Peggy Robert Guadeloupe La 1ère
(Voir le dossier "JUSTICE ET VERITE POUR MYGDAHLIA")
JUSTICE ET VERITE POUR MYGDALHIA
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