La fermeté affichée du préfet aurait-elle dépassé les limites ? Pour l'UGTG c'est le cas. Le syndicat, en la personne de son secrétaire général était convoqué ce matin au Commissariat de Pointe-à-Pître pour répondre de ce que le Préfet, considère comme une insulte
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Elie Domota, le secrétaire général de l’UGTG était convoqué ce jeudi au commissariat central de Pointe-à-Pitre
Il devait y être interrogé suite à une plainte pour outrage envers une personne dépositaire de l’autorité en la personne du préfet, après ses propos critiques sur le Relais Inter-Entreprise, le jour de la commémoration de l’Abolition de l’Esclavage.
Pour comprendre l'histoire il faut se replonger dans le contexte de la lettre qui a été écrite par le syndicat et envoyée aux élus et autres responsables pour dénoncer la tenue du relai inter-entreprise qui ne tient pas compte des vérités historiques liées à la date du 27 mai.
Le syndicat poussait la comparaison en assimilant la présence des représentants de l'Etat aux commémorations du 27 mai comme un acte anachronique. Mais c'est particulièrement une phrase de cette lettre qui a incité le préfet à la transmettre au Procureur, une phrase que dit : "
Une procédure qui provoque l’étonnement d’Elie Domota et de son avocate, Me Sarah Aristide
Mais l’affaire ne s’arrêtera donc pas là, puisque Elie Domota se retrouve sous le coup d’une nouvelle convocation pour avoir refusé de se soumettre à l'identification pour inscription dans un fichier de la Police.
Il devait y être interrogé suite à une plainte pour outrage envers une personne dépositaire de l’autorité en la personne du préfet, après ses propos critiques sur le Relais Inter-Entreprise, le jour de la commémoration de l’Abolition de l’Esclavage.
Pour comprendre l'histoire il faut se replonger dans le contexte de la lettre qui a été écrite par le syndicat et envoyée aux élus et autres responsables pour dénoncer la tenue du relai inter-entreprise qui ne tient pas compte des vérités historiques liées à la date du 27 mai.
Le syndicat poussait la comparaison en assimilant la présence des représentants de l'Etat aux commémorations du 27 mai comme un acte anachronique. Mais c'est particulièrement une phrase de cette lettre qui a incité le préfet à la transmettre au Procureur, une phrase que dit : "
VOIR : L'intégralité de la lettre :Ils nous flattent tel le pédophile qui épouse sa victime après l’avoir violée, battue, humiliée toute une vie durant.
Lettre l'UGTG aux élus de la Guadeloupe
Christelle Martial Guadeloupe La 1ère