La CGTG appelle à une mobilisation ce lundi devant le commissariat central de Pointe-à-Pitre pour protester contre les conditions d'application de l'accord de fin de conflit conclu le mois dernier
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Les salariés de l’UES Karucash et Sofhyper ont appelé hier, lors d’une assemblée générale, à une grève. Ils dénoncent "l’esprit revanchard" de la direction et la répression contre les anciens grévistes.
En réalité, il s'agit surtout pour les militants de la CGTG de soutenir l'une de leur collègue, particulièrement active durant le conflit et qui, aujourd'hui, est poursuivie pour "diffusion d'images sans autorisation". Une plainte qui émanerait de l'un des salariés non grévistes qui aurait été photographié à son insu, photos qui auraient ensuite été publiées. Un prétexte selon la centrale qui voit là une manière de sanctionner les anciens grévistes. Convoquée à 11h, l'intéressée est arrivée entourée de ses soutiens syndicaux. Elle est entendue par les enquêteurs de la police.
Pour autant, les points de revendication de la mobilisation ne sont pas sans fondement, ils doivent être évoqués lors d'une rencontre à la DIECCTE, cet après-midi, une rencontre prévue de longue date, dans le cadre de l'accord de fin de conflit.
La plate forme du réclame cependant la prime Macron, le respect des instances représentatives du personnel, le respect des accords signés à l’issue de la longue grève de Milénis en février dernier, et la poursuite des NAO débutés en 2018. Le mois dernier, dans la nuit du 9 au 10 février, un accord était intervenu entre les deux parties en présence dans le conflit, mettant un terme à un conflit qui aura duré 80 jours.
Pour revoir les termes de l'accord, cliquez ici
En réalité, il s'agit surtout pour les militants de la CGTG de soutenir l'une de leur collègue, particulièrement active durant le conflit et qui, aujourd'hui, est poursuivie pour "diffusion d'images sans autorisation". Une plainte qui émanerait de l'un des salariés non grévistes qui aurait été photographié à son insu, photos qui auraient ensuite été publiées. Un prétexte selon la centrale qui voit là une manière de sanctionner les anciens grévistes. Convoquée à 11h, l'intéressée est arrivée entourée de ses soutiens syndicaux. Elle est entendue par les enquêteurs de la police.
La plate forme du réclame cependant la prime Macron, le respect des instances représentatives du personnel, le respect des accords signés à l’issue de la longue grève de Milénis en février dernier, et la poursuite des NAO débutés en 2018. Le mois dernier, dans la nuit du 9 au 10 février, un accord était intervenu entre les deux parties en présence dans le conflit, mettant un terme à un conflit qui aura duré 80 jours.
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