Un combat menée depuis 1994 pour sortir le cancer du sein du silence dans lequel il se vivait mais aussi pour soutenir la recherche médicale et scientifique et pour informer le plus grand nombre. Sarah Deroche fait partie des femmes qui ont eu ce cancer et qui en témoignent aujourd'hui
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L'organisation le dit, "Octobre Rose est une occasion de mettre en lumière celles et ceux qui combattent cette maladie, d’intensifier l’information et la sensibilisation et de réunir encore plus de fonds pour aider les chercheurs, les soignants".
Sarah Deroche est aujourd'hui secrétaire générale de la ligue contre le cancer. Elle fait en effet partie de ceux qui mettent en lumière ce combat contre la maladie. Mais quand elle en parle, c'est de l'intérieur que lui viennent les mots. Un intérieur visité par le cancer contre lequel elle a dû se battre afin de lui survivre, pour l'Amour de ses enfants. Son histoire à elle est le premier argument dont elle peut se servir pour informer les autres.
Et malgré les perspectives plutôt sombres qui se présentaient à elle, Sarah est aussi la preuve qu'il y a une vie après le cancer, qu'on survit à l'ablation d'un sein et que la vie réserve encore de belles surprises à celles qui sont passées par là
Et cette année encore, Sarah sera là pour prendre sa part à la campagne de lutte contre le cancer du sein organisée par l'association Ruban Rose, non seulement pour proposer le petit ruban rose qui symbolise la lutte contre le cancer du sein, mais aussi en informant, en dialoguant et en mobilisant toutes les énergies, celles de la ligue contre le cancer et aussi, celles de toutes celles et ceux qui, comme elles, en ont été victimes.
VOIR AUSSI :
Il faut savoir :
* 12000 femmes meurent du cancer du sein chaque année
* Le cancer du sein peut également toucher les hommes. Environ 500 cas sont diagnostiqués chaque année
* Une femme a 6 fois plus de risque d’être quittée à l’annonce d’un cancer qu’un homme
Une enquête menée sur deux ans à démontré que sur 58 % de participants vivant en couple au début de l’étude, seuls 43 % le sont encore deux ans après le diagnostic de la maladie.
Après l’annonce d’un cancer, le taux de séparation des patients en couple est de 20,8 % lorsque c’est la femme qui est malade, et tombe à 2,9 % dans la situation inverse.
Sarah Deroche est aujourd'hui secrétaire générale de la ligue contre le cancer. Elle fait en effet partie de ceux qui mettent en lumière ce combat contre la maladie. Mais quand elle en parle, c'est de l'intérieur que lui viennent les mots. Un intérieur visité par le cancer contre lequel elle a dû se battre afin de lui survivre, pour l'Amour de ses enfants. Son histoire à elle est le premier argument dont elle peut se servir pour informer les autres.
Et malgré les perspectives plutôt sombres qui se présentaient à elle, Sarah est aussi la preuve qu'il y a une vie après le cancer, qu'on survit à l'ablation d'un sein et que la vie réserve encore de belles surprises à celles qui sont passées par là
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Une enquête menée sur deux ans à démontré que sur 58 % de participants vivant en couple au début de l’étude, seuls 43 % le sont encore deux ans après le diagnostic de la maladie.
Après l’annonce d’un cancer, le taux de séparation des patients en couple est de 20,8 % lorsque c’est la femme qui est malade, et tombe à 2,9 % dans la situation inverse.