Notre chronique littéraire ‘’Papiers d’Identité’’ nous emmène cette semaine à la découverte d’un petit livre rouge publié en 2017 aux Editions Jasor.
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‘’Autonomie. Manifeste pour une évolution statutaire de la Guadeloupe’’ c’est son nom ! L’ouvrage est signé Raphaël Lapin. Universitaire guadeloupéen originaire de Sainte Rose et président de l’Association du droit et de l’économie des Outre-mer (Adecom).
Ce manifeste est une exhortation à relever les défis qui s’imposent à un territoire tel que celui de la Guadeloupe.
L’auteur avance des arguments en faveur d’un nouveau statut qui conviendrait à notre pays au sein même de la République Française.
‘’Autonomie’’ de Raphaël Lapin c’est à découvrir dans ‘’Papiers D’Identité’’
Raphaël Lapin. :
Ce manifeste est une exhortation à relever les défis qui s’imposent à un territoire tel que celui de la Guadeloupe.
L’auteur avance des arguments en faveur d’un nouveau statut qui conviendrait à notre pays au sein même de la République Française.
‘’Autonomie’’ de Raphaël Lapin c’est à découvrir dans ‘’Papiers D’Identité’’
Christelle Martial Guadeloupe La 1ère
Raphaël Lapin. :
A la tête de l'institut Gaston Monnerville, Raphaël Lapin est un militant infatigable de la vulgarisation du avoir, de la mise à la portée de tous des informations qui peuvent leur permettre de mieux appréhender les notions de droit, d'économie et de sociologie. Un engagement concret pour celui qui ne veut pas en rester à la théorie, afin de "mettre en perspective" la réalité des peuples d'Outremer, mais aussi, mettre en exergue l'excellence de l'Outremer représentée par une jeunesse à qui il veut transmettre des messages d'encouragementEt retrouvez ‘’Papiers d’Identité’’ tous les vendredis dans le journal de 7h, en rediffusion le samedi après notre flash de 18H et à partir du dimanche, en version enrichie sur notre application Guadeloupe.la1ère."Nos sociétés évoluent, leurs besoins également. Nos institutions locales doivent accompagner ces évolutions. Elles ne peuvent le faire sans connaître elles-mêmes une mutation. Si le droit peut être changé, les statuts et les institutions le peuvent aussi. Il n'y a aucune entrave à l'évolution de nos institutions sur le plan juridique.
Le seul obstacle, c'est la volonté. Notre volonté. (...) Parce que ce temps est passé, parce que les consciences sont prêtes et parce que je vois poindre une réorganisation propice aux interrogations, il est l'heure de remettre sur le tapis ce vieux serpent de mer : quel statut et quelles institutions pour notre pays ?",