Un pavé dans la mare de la santé en Guadeloupe

En pleine crise du CHU, la publication d'un rapport vient semer le trouble. Il émane de l’ex-secrétaire général de l’intersyndicale nationale des internes qui pointe du doigt les difficultés à travailler dans les hôpitaux des Antilles Guyane
Nouvelle illustration des difficultés de travailler dans les hôpitaux des Antilles Guyane, y compris donc au CHU de la Guadeloupe. Selon un rapport rédigé par Antoine Reydellet, ex-secrétaire général de l'Intersyndicale nationale des internes (ISNI), ces derniers sont dans nos régions « bien plus exposés à des facteurs délétères sur le plan psychosocial que ceux de la métropole »..
En pleine crise du CHU, la publication de ce rapport secoue un peu plus les responsables de la santé en Guadeloupe; médecins et élus tiennent à conserver coûte que coûte le "U" du CHU. Une intention qui doit s'accompagner par une intégration parfaite des internes dans le dispositif de soin de l'établissement.
Or, depuis l'incendie, les internes sont souvent ballottés d'une structure à l'autre, sans toujours savoir où ils seront affectés et comment ils seront accompagnés. 
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Un rapport qui rappelle donc que, dans les faits, c'est par une réelle implication dans la prise en charge des internes que le "U" peut être laissé au Centre Hospitalier de la Guadeloupe