En Guadeloupe, la pêche au lambi est ouverte du 1er octobre au 31 décembre, jusqu’à 25 m de fond. Du 31 décembre au 31 janvier, cette pêche n’est autorisée qu’au-delà de 25 m de fond.
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La pêche au lambi est réservée aux pêcheurs professionnels régulièrement déclarés auprès de la direction de la Mer. L’arrêté N°2002/1249, portant réglementation de l’exercice de la pêche maritime côtière dans les eaux de la Guadeloupe, en son article 16, interdit toute capture, colportage ou vente de lambis ne possédant pas le pavillon formé et n’ayant pas un poids en chair nettoyée de 250 grammes au minimum par individu.
La direction de la Mer de Guadeloupe qui, sous l’autorité du préfet, coordonne l’action des services de l’État dans le domaine du contrôle des pêches, met en oeuvre un dispositif dédié pour arrêter et sanctionner les contrevenants.
Tout restaurateur ou mareyeur ainsi que tous les professionnels de la filière, doivent être en mesure de présenter aux consommateurs des étiquettes réglementaires et de fournir aux contrôleurs tous les documents participant à la traçabilité du produit.
Qu’il s’agisse de la pêche illégale du lambi ou de la détention illégale de ce coquillage les contrevenants s'exposent à des amendes administratives et des sanctions pénales qui peuvent aller jusqu'à 22 500 € et six mois d’emprisonnement.
La pêche au lambi est interdite aux pêcheurs plaisanciers et à pied, en tout temps et en tous lieux.
La direction de la Mer de Guadeloupe qui, sous l’autorité du préfet, coordonne l’action des services de l’État dans le domaine du contrôle des pêches, met en oeuvre un dispositif dédié pour arrêter et sanctionner les contrevenants.
Tout restaurateur ou mareyeur ainsi que tous les professionnels de la filière, doivent être en mesure de présenter aux consommateurs des étiquettes réglementaires et de fournir aux contrôleurs tous les documents participant à la traçabilité du produit.
Qu’il s’agisse de la pêche illégale du lambi ou de la détention illégale de ce coquillage les contrevenants s'exposent à des amendes administratives et des sanctions pénales qui peuvent aller jusqu'à 22 500 € et six mois d’emprisonnement.