Comment faire face au manque de foncier disponible pour les agriculteurs ? L'une des solutions trouvée par le Conseil départemental est de reconquérir les terres laissées en friche par leur proprétaire et de les mettre à disposition des agriculteurs. Les premiers essais ont été lancés à Petit-Canal.
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D’un côté, des agriculteurs empêchés de démarrer ou diversifier leurs activités, faute de surfaces cultivables.
De l’autre, près de 5 000 hectares de terres agricoles en friche, sur l’ensemble de l’archipel Guadeloupéen.
L’équation semble simple : la mise à disposition du foncier à l’abandon doit contenter les professionnels. Mais cela fait des décennies que la problématique est soulevée sans grand résultat, jusqu’ici.
Les jeunes, qui prônent le renouvellement de génération, dans le monde agricole sont les premiers à pâtir de la situation. D’où la procédure lancée ce samedi 9 novembre, par le Département, d’abord à Petit-Canal puis sur le reste du territoire.
Les précisions de Nadel Fadel et Jean-Marie Mavounzy
De l’autre, près de 5 000 hectares de terres agricoles en friche, sur l’ensemble de l’archipel Guadeloupéen.
L’équation semble simple : la mise à disposition du foncier à l’abandon doit contenter les professionnels. Mais cela fait des décennies que la problématique est soulevée sans grand résultat, jusqu’ici.
Les jeunes, qui prônent le renouvellement de génération, dans le monde agricole sont les premiers à pâtir de la situation. D’où la procédure lancée ce samedi 9 novembre, par le Département, d’abord à Petit-Canal puis sur le reste du territoire.
Les précisions de Nadel Fadel et Jean-Marie Mavounzy
Reportage de Nadine Fadel et Jean-Marie Mavounzy sur la redistribution des terres en friche à Petit-Canal.
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