Ce lundi 28 janvier s’ouvre, devant la cour d’assises de Basse-Terre, le procès en appel de Samantha Lamarre, pour le meurtre de son compagnon, le chanteur de bouyon, Suppa. C’était en 2013. Elle avait été condamnée à 5 ans de prison dont quatre ans fermes, en première instance.
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Ce lundi s’ouvre, devant la cour d’assises de Basse-Terre, le procès en appel de Samantha Lamarre, pour le meurtre de son compagnon, Suppa. C’était en 2013, au domicile du couple, au Morne Lacrosse aux Abymes.
Au cours d’une énième dispute, le chanteur de bouyon avait reçu un coup de couteau en plein cœur. La cour d’assises avait condamné Samantha Lamarre, en première instance, en mai 2017, à cinq ans de prison dont quatre ans fermes. Les jurés n’avaient pas suivi les réquisitions de l’avocat général qui lui, réclamait pas moins de 12 ans de réclusion criminelle. Le parquet avait fait appel et elle comparait à nouveau ce lundi après-midi devant la cour d’assises de Basse-Terre.
L’avocat général avait en effet requis au moins 12 ans de réclusion criminelle à l’encontre de la jeune femme. Elle avait écopé de 5 ans de prison dont 4 fermes.
Dans leur verdict les jurés avait estimé qu’elle s’était rendu coupable de violence ayant entraîné la mort mais sans intention de la donner, elle n’avait donc pas été condamnée pour meurtre.
A l’issue des 2 jours d’audience, ils étaient arrivés à cette conclusion en tenant compte du contexte de violence dans lequel le couple évoluait... Avec des coups qui pleuvaient selon la jeune femme, même parfois des jets de pierre ou des coups de planche de bois reçus de la part de son compagnon alors même qu’elle était enceinte. C’est au cours d’une énième dispute que le drame s’était produit. Suppa avait reçu des coups de couteau en plein cœur. Il était décédé des suites de ses blessures.
A compter d’aujourd'hui et jusqu'à mercredi, les jurés devront de nouveau se forger une intime conviction sur ce dossier.
Au cours d’une énième dispute, le chanteur de bouyon avait reçu un coup de couteau en plein cœur. La cour d’assises avait condamné Samantha Lamarre, en première instance, en mai 2017, à cinq ans de prison dont quatre ans fermes. Les jurés n’avaient pas suivi les réquisitions de l’avocat général qui lui, réclamait pas moins de 12 ans de réclusion criminelle. Le parquet avait fait appel et elle comparait à nouveau ce lundi après-midi devant la cour d’assises de Basse-Terre.
Une peine en partie purgée
La jeune femme qui a quasiment fini de purger sa peine va donc à nouveau se retrouver sur le banc des accusés. C’est le parquet qui avait fait appel de la première décision, au grand dam de son avocat, qui lui, avait trouvé la justice équitable.L’avocat général avait en effet requis au moins 12 ans de réclusion criminelle à l’encontre de la jeune femme. Elle avait écopé de 5 ans de prison dont 4 fermes.
Dans leur verdict les jurés avait estimé qu’elle s’était rendu coupable de violence ayant entraîné la mort mais sans intention de la donner, elle n’avait donc pas été condamnée pour meurtre.
A l’issue des 2 jours d’audience, ils étaient arrivés à cette conclusion en tenant compte du contexte de violence dans lequel le couple évoluait... Avec des coups qui pleuvaient selon la jeune femme, même parfois des jets de pierre ou des coups de planche de bois reçus de la part de son compagnon alors même qu’elle était enceinte. C’est au cours d’une énième dispute que le drame s’était produit. Suppa avait reçu des coups de couteau en plein cœur. Il était décédé des suites de ses blessures.
A compter d’aujourd'hui et jusqu'à mercredi, les jurés devront de nouveau se forger une intime conviction sur ce dossier.