Le vice procureur de la République a immédiatement publié un communiqué pour tempérer les choses. Dans l’île franco-hollandaise, les rumeurs se sont succédés. Un médecin de l’Hôpital Louis Constant Fléming a été placé en garde à vue pour des dossiers de prises illégales d’intérêt.
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Dans son communiqué, le parquet détaché de Saint-Martin ne souhaite pas dévoiler le nom du médecin qui a été lundi dernier mis en garde à vue dans un dossier de prises illégale d’intérêt. Les magistrats ont voulu, selon eux, mettre un terme aux rumeurs et informations erronées qui ont circulé dans l’île.
Ce médecin est membre de la commission médicale de l’établissement hospitalier. Les enquêteurs de la gendarmerie nationale veulent savoir quelles sont ses relations avec deux structures, dont une néerlandaise.
Le parquet ne confirme pas le nom de Louis Jeffry. Un médecin connu dans l’île. Son nom a circulé sur les réseaux sociaux et dans le "Sint-Maarten News". Plusieurs organisme de santé auraient déposé plainte contre ces structures pour non paiement entre autres. Les média locaux se sont emparés de l’affaire, notamment le "Soualiga Post".
Le vice-procureur précise qu’il n’y avait pas 30 militaires qui ont encerclé l’établissement hospitalier lundi, mais 5 officiers de police judiciaire, accompagnés d’un représentant de l’ordre des médecins. De quoi réaliser des perquisitions en bonnes et dues formes.
L’affaire suit son cours, et le parquet de souligner la présomption d’innocence de l’homme qui a été mis en garde à vue.
Ce médecin est membre de la commission médicale de l’établissement hospitalier. Les enquêteurs de la gendarmerie nationale veulent savoir quelles sont ses relations avec deux structures, dont une néerlandaise.
Le parquet ne confirme pas le nom de Louis Jeffry. Un médecin connu dans l’île. Son nom a circulé sur les réseaux sociaux et dans le "Sint-Maarten News". Plusieurs organisme de santé auraient déposé plainte contre ces structures pour non paiement entre autres. Les média locaux se sont emparés de l’affaire, notamment le "Soualiga Post".
Le vice-procureur précise qu’il n’y avait pas 30 militaires qui ont encerclé l’établissement hospitalier lundi, mais 5 officiers de police judiciaire, accompagnés d’un représentant de l’ordre des médecins. De quoi réaliser des perquisitions en bonnes et dues formes.
L’affaire suit son cours, et le parquet de souligner la présomption d’innocence de l’homme qui a été mis en garde à vue.