L’élection du nouveau président du conseil de surveillance, initialement prévue ce lundi matin, a été renvoyée au 1er octobre prochain.
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Officiellement, le scrutin a été repoussé en raison de l’absence du préfet, aujourd’hui en déplacement à Paris. Le représentant de l’Etat est en effet membre du conseil de surveillance qui compte 17 membres. Il a donc droit de vote.
Une explication protocolaire qui ne convainc pas grande monde. De sources concordantes, on indique que la cause principale de ce report serait davantage à chercher du côté des candidats, où plutôt des candidates Elles seraient deux et de Basse-Terre à briguer le poste.
Marie-Luce Penchard en tant que représentante du Conseil régional d’un côté. De l’autre, Brigitte Rodes en tant que représentante du Conseil Départemental. L’avocate est par ailleurs membre du Conseil supérieur de la marine marchande. Deux élus, deux politiques qui ne font pas forcément l’unanimité.
Les socio-professionnels, présents également au sein du conseil au titre de la CCI ou en tant que personne qualifié aimeraient en effet placer l’un des leurs. A les entendre, ce poste leurs reviendrait de droit.
Bruno Blandin, le patron du Medef a pendant un temps caressé l’idée avant visiblement de faire marche arrière. Raison invoquée : la limite d’âge 67 ans. Bruno Blandin n’aura pu faire qu’un an de mandat au lieu de 5. Il aurait donc accepté d’être vice-président aux côtés de Marie-Luce Penchard. Mais le duo n’a visiblement pas convaincu. Le report du scrutin permet donc de rebattre les cartes et pourquoi pas de faire émerger de nouveaux candidats.
Une explication protocolaire qui ne convainc pas grande monde. De sources concordantes, on indique que la cause principale de ce report serait davantage à chercher du côté des candidats, où plutôt des candidates Elles seraient deux et de Basse-Terre à briguer le poste.
Marie-Luce Penchard en tant que représentante du Conseil régional d’un côté. De l’autre, Brigitte Rodes en tant que représentante du Conseil Départemental. L’avocate est par ailleurs membre du Conseil supérieur de la marine marchande. Deux élus, deux politiques qui ne font pas forcément l’unanimité.
Les socio-professionnels, présents également au sein du conseil au titre de la CCI ou en tant que personne qualifié aimeraient en effet placer l’un des leurs. A les entendre, ce poste leurs reviendrait de droit.
Bruno Blandin, le patron du Medef a pendant un temps caressé l’idée avant visiblement de faire marche arrière. Raison invoquée : la limite d’âge 67 ans. Bruno Blandin n’aura pu faire qu’un an de mandat au lieu de 5. Il aurait donc accepté d’être vice-président aux côtés de Marie-Luce Penchard. Mais le duo n’a visiblement pas convaincu. Le report du scrutin permet donc de rebattre les cartes et pourquoi pas de faire émerger de nouveaux candidats.