Le syndicat a adressé une lettre ouverte au directeur d'EDF Archipel Guadeloupe pour dénoncer ce qu'il considère comme "une fin présumé du service public d’électricité en Guadeloupe". Le syndicat affirme qu’il y a des réductions constantes d’effectifs au sein de EDF en Guadeloupe.
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Une interpellation du syndicat de l’énergie électrique à la direction de EDF archipel Guadeloupe qui traduit selon l’organisation affiliée à la CGTG, une inquiétude « légitimes » de plusieurs agents.
Le syndicat dénonce un accord signé par plusieurs syndicats sauf la CGTG et l’UGTG. Un accord dit social mais qui limite le nombre de salariés d’électricité de France en Guadeloupe à 549 agents, alors même que l’entreprise publique ferait appel à de l’intérim et de l’emploi précaire.
Un démantèlement supposé du service de l’électricité dans l’archipel qui se confirmerait selon le syndicat de l’énergie par les différents dispositifs mis en place :
- Une délocalisation des activités achats et frais de personnel transféré à Rouen dans l’hexagone.
- Une digitalisation des services qui aboutit à des fermetures d’accueil clients.
De profonds changements contenus dans le PDU, le plan directeur d’unité et qui conduiraient à une privatisation de plusieurs secteurs et la fin du monopole de l’Etat de la vente d’électricité dans notre région.
La CGTG alerte aussi l’entreprise sur les normes parasismiques du siège de Bergevin à Pointe-à-Pitre.Le syndicat exige l’ouverture de négociation sur l’emploi, la promotion de salariés locaux.
En réponse à cette lettre ouverte du syndicat de l’énergie de la CGTG, Sylvain Vidal, le directeur régional de l’entreprise publique en Guadeloupe, précise qu'il n’y a pas de suppressions de postes, bien au contraire.
Le syndicat dénonce un accord signé par plusieurs syndicats sauf la CGTG et l’UGTG. Un accord dit social mais qui limite le nombre de salariés d’électricité de France en Guadeloupe à 549 agents, alors même que l’entreprise publique ferait appel à de l’intérim et de l’emploi précaire.
Un démantèlement supposé du service de l’électricité dans l’archipel qui se confirmerait selon le syndicat de l’énergie par les différents dispositifs mis en place :
- Une délocalisation des activités achats et frais de personnel transféré à Rouen dans l’hexagone.
- Une digitalisation des services qui aboutit à des fermetures d’accueil clients.
De profonds changements contenus dans le PDU, le plan directeur d’unité et qui conduiraient à une privatisation de plusieurs secteurs et la fin du monopole de l’Etat de la vente d’électricité dans notre région.
La CGTG alerte aussi l’entreprise sur les normes parasismiques du siège de Bergevin à Pointe-à-Pitre.Le syndicat exige l’ouverture de négociation sur l’emploi, la promotion de salariés locaux.
En réponse à cette lettre ouverte du syndicat de l’énergie de la CGTG, Sylvain Vidal, le directeur régional de l’entreprise publique en Guadeloupe, précise qu'il n’y a pas de suppressions de postes, bien au contraire.
Sylvain Vidal Directeur Régional d'EDF Archipel Guadeloupe