L'UGTG se fait entendre dans le dossier à propos du paiement des jours non travaillés en cas de Cyclone

Pour la Centrale syndicale, "le passage d’un cyclone est un évènement connu par tous et organisé dans un cadre réglementaire. On ne peut donc l’interpréter comme étant un évènement soudain et imprévisible."
Et pour faire valoir sa position dans ce débat, dans un communiqué signé par Elie Domota, la 'UGTG suggère que  :

L’employeur peut recourir au chômage partiel qui lui permet de réduire ou de suspendre son activité du fait du passage du cyclone. Dans ce cas, les salariés touchés par une perte de salaire sont indemnisés par l'employeur suivant une indemnité horaire correspondant environ à 84 % du salaire net horaire. Et l’employeur se faisant rembourser par les services de l’Etat.


Prenant ensuite position dans le rôle qui est le sien, L’UGTG "invite l’ensemble des travailleurs à s’opposer à toutes retenues sur salaires, à toutes retenues de jours de congés et à toutes récupérations d’heures dans le cadre des « jours non travaillés en cas de cyclone » et à ne négocier aucun dispositif allant en ce sens."