Dans leurs motivations premières, les élus signataires de cette lettre au premier ministre soulignent tout d'abord que,
Plus d’un an après le vote de la loi, les élus font le constat que la situation précaire d’une grande partie de nos compatriotes, singulièrement des soignants, agents et personnels, suspendus et privés de salaire depuis plusieurs mois, n’est plus tenable. La suspension des soignants non vaccinés, contribue à la dégradation de l’offre de soins et alimente une exaspération déjà importante qui menace de dégrader plus encore, le contexte social déjà tendu dans l’archipel.
L'argumentaire est donc posé pour solliciter une décision de la part de la Première Ministre afin, disent-ils, "de régler définitivement cette crise".
La demande est d'ailleurs libellée en ces termes :
Et les signataires de cette lettre mentionnent particulièrement qu'il s'agit pour la Guadeloupe de sortir rapidement de cette crise notamment grâce au rétablissement du dialogue entre les parties concernées.
Une action politique des élus qui espèrent convaincre l'Exécutif national alors même que le chef de l'Etat s'est exprimé en la matière en précisant que la question relève d'une réponse scientifique et non politique.