De belles images de liberté avec un relâcher de capucins bruns dans la nature. Les bénévoles de l’association SOS Faune sauvage après s’être occupés pendant 2 ans de ces singes, les ont rendus à leur milieu naturel. Il s’agissait de singes victimes de mauvais traitements.
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L’association SOS faune sauvage se voit régulièrement confier des animaux sauvages en détresse. Le but pour elle est justement de parvenir le plus tôt possible à ce résultat qui prouve également l’intérêt d’une telle entreprise. Les animaux n'ont pas eu une seconde d’hésitation avant de regagner la nature.
3 capucins bruns, un mâle et deux femelles sont repartis dans la nature après avoir été remis sur pattes par les bénévoles de SOS Faune sauvage. Un retour à la nature, comme un réflexe, c’est ce qui s’appelle une opération de relâcher réussie. Margo Traimond, éthologue et présidente de SOS Faune sauvage Guyane s'en réjouit :
Ces animaux avaient passé du temps en captivité, deux d’entre eux étaient maltraités et avaient été confiés à l’association il y a deux ans pour le mâle, un an pour les femelles.Tout l’enjeu consistait à tout faire pour qu’ils réintègrent spontanément leur milieu naturel :
Pas question non plus d’introduire des agents pathogènes dans la nature par le biais de ces relâchers. Solène Lefort, vétérinaire bénévole de SOS Faune sauvage Guyane:
La date du relâcher, une décision qui implique toute l’équipe des bénévoles que sont les soigneurs et employés du zoo de Guyane. Cette mission de sauvegarde, c’est leur vraie passion. Nazaré Pinheiro Monteiro, responsable des soigneurs du zoo de Guyane :
Ce relâcher est le dernier de l’année.
En 2020, SOS Faune sauvage Guyane a ainsi renvoyé à leur milieu caïman, faucon, saïmiri, tortue scorpion, anaconda et pian.
Un relâcher en pleine nature réussi
3 capucins bruns, un mâle et deux femelles sont repartis dans la nature après avoir été remis sur pattes par les bénévoles de SOS Faune sauvage. Un retour à la nature, comme un réflexe, c’est ce qui s’appelle une opération de relâcher réussie. Margo Traimond, éthologue et présidente de SOS Faune sauvage Guyane s'en réjouit :
... C'est un travail comportemental qui a été très long, très important, cela fait plaisir...
Ces animaux avaient passé du temps en captivité, deux d’entre eux étaient maltraités et avaient été confiés à l’association il y a deux ans pour le mâle, un an pour les femelles.Tout l’enjeu consistait à tout faire pour qu’ils réintègrent spontanément leur milieu naturel :
1,2,3 ils sont tout de suite sortis cela veut dire que toute cette association positive qu'ils avaient faite avec l'homme, elle a été efficacement effacée et remplacée par la peur de la prédation. Le mâle avait déjà connu le milieu naturel, il est l'individu pilote qui allait démonter aux femelles le comportement qu'elles devaient adopter avec nous. Nous avons développé un protocole de désimprégnation....
Un relâcher dans de strictes conditions sanitaires
Pas question non plus d’introduire des agents pathogènes dans la nature par le biais de ces relâchers. Solène Lefort, vétérinaire bénévole de SOS Faune sauvage Guyane:
Ils sont passé une batterie de tests pour voir s'ils étaient porteurs ou non de certains agents pathogènes, ce qui là n'était pas le cas.
La date du relâcher, une décision qui implique toute l’équipe des bénévoles que sont les soigneurs et employés du zoo de Guyane. Cette mission de sauvegarde, c’est leur vraie passion. Nazaré Pinheiro Monteiro, responsable des soigneurs du zoo de Guyane :
Le zoo fait un excellent travail avec les espèces et pour moi c'est un plaisir énorme...
Ce relâcher est le dernier de l’année.
En 2020, SOS Faune sauvage Guyane a ainsi renvoyé à leur milieu caïman, faucon, saïmiri, tortue scorpion, anaconda et pian.
Après 2 ans de soins, l'association SOS Faune sauvage relâche trois singes capucins bruns dans leur milieu naturel