Depuis trois semaines, le tronçon de la BR-156 entre Macapa est Oiapoque est impraticable. La faute aux intempéries. Une situation dramatique pour les compagnies de bus et les transporteurs routiers.
Véhicules endommagés, accidents, retards et annulations. C’est le quotidien des voyageurs qui empruntent le tronçon nord de la BR-156, entre Oiapoque et Macapá. Les dernières pluies ont endommagé la route fédérale en latérite qui attend depuis des années sa couche d’asphalte.
La Direction nationale des infrastructures de transport (Dnit) affirme avoir signé un contrat : les travaux d'entretien sur ce tronçon seraient en cours depuis quelques jours. Remblais et consolidation sont programmés ainsi que la pose d’un revêtement primaire.
En attendant, les professionnels du transport doivent faire preuve de patience. Difficile en cette période de crise sanitaire qui a provoqué une baisse de l'activité. Les véhicules sont soumis à rude épreuve, beaucoup tombent en panne ou ne parviennent pas à achever le périple.
Sans compter que la durée des trajets est multipliée par deux, c’est-à-dire de 11h à 24h pour la totalité de la ligne. L’état de la route provoque de nombreux accidents : la boue rend la chaussée très glissante pour les véhicules. Plusieurs voitures et camions ont ainsi terminé dans le fossé. Heureusement, pour l’instant, aucune victime grave n’est à déplorer.
Sources : Rede Amazonica / Revista do onibus
La Direction nationale des infrastructures de transport (Dnit) affirme avoir signé un contrat : les travaux d'entretien sur ce tronçon seraient en cours depuis quelques jours. Remblais et consolidation sont programmés ainsi que la pose d’un revêtement primaire.
En attendant, les professionnels du transport doivent faire preuve de patience. Difficile en cette période de crise sanitaire qui a provoqué une baisse de l'activité. Les véhicules sont soumis à rude épreuve, beaucoup tombent en panne ou ne parviennent pas à achever le périple.
« Les véhicules ne passent que tractés. Les moteurs sont trop sollicités. Les bus terminent terminent attachés les uns aux autres en file indienne, tirés par un camion. Il devrait au moins y avoir une machine pour nous aider, un soutien de secours, puisque vous ne pouvez pas faire de terrassement. »
Sans compter que la durée des trajets est multipliée par deux, c’est-à-dire de 11h à 24h pour la totalité de la ligne. L’état de la route provoque de nombreux accidents : la boue rend la chaussée très glissante pour les véhicules. Plusieurs voitures et camions ont ainsi terminé dans le fossé. Heureusement, pour l’instant, aucune victime grave n’est à déplorer.
Sources : Rede Amazonica / Revista do onibus