Signature ce vendredi 5 juillet dans les salons de la préfecture du Contrat de Transition Ecologique (CTE) de Guyane. Un contrat doit qui permettre de mener des actions concrètes et cohérentes pour soutenir et accélérer le développement des projets de biomasse-énergie en Guyane.
L’ambition guyanaise, de programmation de l’énergie (PPE) est de 40 MégaWatt d’ici 2023, ce qui impose de nouvelles installations de production et ouvre des opportunités pour la filière de production électrique biomasse. Selon l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), l’objectif de 40 MW pour la Guyane, créerait entre 350 et 400 emplois, sur la base du ratio qui veut que 1 MégaWatt = 1 emploi.
Aujourd’hui de nombreux projets existent, mais les délais constatés et l’absence de structuration des filières d’approvisionnement (abattis, scieries, défriches…) rendent cet objectif difficilement atteignable… Le contrat signé, ce vendredi après-midi, entre la préfecture de Guyane, la CTG, la Banque des territoires et l’ADEME, en présence de l’ensemble des partenaires des secteurs de l’énergie et de la filière bois, doit aider à atteindre l’ambitieux objectif…
Ce CTE s’il est rempli, contribuera ainsi à sécuriser l’alimentation de la population en électricité d’origine renouvelable tout en participant au développement économique du territoire.
Le CTE de Guyane agira de l’amont à l’aval de la filière biomasse-énergie, selon quatre orientations :
l’amélioration de la valorisation de l’exploitation forestière
l’amélioration de la valorisation des défriches agricoles et urbaines
le développement des plantations sylvicoles, de l’agroforesterie et des cultures énergétiques
l’accompagnement pour l’aboutissement des projets et l’adaptation de la réglementation
Le premier CTE Guyane (le second, outre-mer, après la réunion) :
L’élaboration du CTE de Guyane s’inscrit dans le cadre du livre bleu issu des assises des outre-mer et suite à la visite du Président de la République fin 2017. Il fait partie des premiers CTE signés en France durant une phase d’expérimentation lancée début 2018 avec une vingtaine de territoires pilotes représentatifs de la diversité des territoires français.
Aujourd’hui de nombreux projets existent, mais les délais constatés et l’absence de structuration des filières d’approvisionnement (abattis, scieries, défriches…) rendent cet objectif difficilement atteignable… Le contrat signé, ce vendredi après-midi, entre la préfecture de Guyane, la CTG, la Banque des territoires et l’ADEME, en présence de l’ensemble des partenaires des secteurs de l’énergie et de la filière bois, doit aider à atteindre l’ambitieux objectif…
Ce CTE s’il est rempli, contribuera ainsi à sécuriser l’alimentation de la population en électricité d’origine renouvelable tout en participant au développement économique du territoire.
Le CTE de Guyane agira de l’amont à l’aval de la filière biomasse-énergie, selon quatre orientations :
l’amélioration de la valorisation de l’exploitation forestière
l’amélioration de la valorisation des défriches agricoles et urbaines
le développement des plantations sylvicoles, de l’agroforesterie et des cultures énergétiques
l’accompagnement pour l’aboutissement des projets et l’adaptation de la réglementation
Le premier CTE Guyane (le second, outre-mer, après la réunion) :
L’élaboration du CTE de Guyane s’inscrit dans le cadre du livre bleu issu des assises des outre-mer et suite à la visite du Président de la République fin 2017. Il fait partie des premiers CTE signés en France durant une phase d’expérimentation lancée début 2018 avec une vingtaine de territoires pilotes représentatifs de la diversité des territoires français.