En Guyane, les ressortissants haïtiens suivent de près la situation actuelle de Haïti. Ils n’encouragent pas ces manifestations particulièrement violentes et estiment que les pillages des commerces sont de véritables freins pour le développement de l’économie.
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Depuis le 7 février dernier les manifestations se succèdent dans les principales villes d’Haïti.
Les protestataires réclament de meilleures conditions de vie, ils dénoncent également la corruption et réclament le départ du Président Jovenet Moïse, réélu il y a tout juste 2 ans.
En Guyane, les ressortissants haïtiens suivent de près la situation actuelle du pays. Ils n’encouragent pas ces manifestations particulièrement violentes. Ils estiment que les pillages des commerces sont de véritables freins pour le développement de l’économie.
Si en Haïti de milliers de manifestants réclament la démission du président Moïse surnommé « NEG BANNAN NAN » estimant qu’il n’a pas tenu sa promesse, ce n’est pas le cas en Guyane.
La plupart des personnes interrogées ne sont pas du même avis, elles souhaitent que le Président reste en place jusqu’à la fin de son mandat.
Les confrontations entre les forces de l’ordre et les jeunes, issus en grande majorité des quartiers populaires, sont particulièrement violentes. 7 morts sont à déplorer depuis le début de ce mouvement.
Face à la contestation, le président haïtien a attendu le 12 février pour s’exprimer sur la télévision nationale. Il compte aller jusqu’au terme de son mandat de 5 ans, c'est-à-dire jusqu’en 2022.
Quelques jours après l’intervention télévisée du Président, c’est au tour du 1er Ministre d’annoncer des mesures économiques d’urgence visant à améliorer les conditions de vie de la population haïtienne.
En attendant de trouver une éventuelle solution, la République d’Haïti est toujours en crise. Les manifestants sont de plus en plus nombreux à défiler dans les rues.
Les protestataires réclament de meilleures conditions de vie, ils dénoncent également la corruption et réclament le départ du Président Jovenet Moïse, réélu il y a tout juste 2 ans.
L'inquiétude des Haïtiens de Guyane
En Guyane, les ressortissants haïtiens suivent de près la situation actuelle du pays. Ils n’encouragent pas ces manifestations particulièrement violentes. Ils estiment que les pillages des commerces sont de véritables freins pour le développement de l’économie.Si en Haïti de milliers de manifestants réclament la démission du président Moïse surnommé « NEG BANNAN NAN » estimant qu’il n’a pas tenu sa promesse, ce n’est pas le cas en Guyane.
La plupart des personnes interrogées ne sont pas du même avis, elles souhaitent que le Président reste en place jusqu’à la fin de son mandat.
Un pays en crise
Les confrontations entre les forces de l’ordre et les jeunes, issus en grande majorité des quartiers populaires, sont particulièrement violentes. 7 morts sont à déplorer depuis le début de ce mouvement.Face à la contestation, le président haïtien a attendu le 12 février pour s’exprimer sur la télévision nationale. Il compte aller jusqu’au terme de son mandat de 5 ans, c'est-à-dire jusqu’en 2022.
Quelques jours après l’intervention télévisée du Président, c’est au tour du 1er Ministre d’annoncer des mesures économiques d’urgence visant à améliorer les conditions de vie de la population haïtienne.
En attendant de trouver une éventuelle solution, la République d’Haïti est toujours en crise. Les manifestants sont de plus en plus nombreux à défiler dans les rues.