Depuis le 16 janvier dernier, les tenanciers de bars sont contraints à la fermeture. Une décision qu’ils ne comprennent pas et qu’ils dénoncent. Certains, pris à la gorge, pensent même rouvrir leur établissement malgré l’interdiction.
Les mutations du virus, son omniprésence dans notre quotidien, c'est une situation qui n’incite pas les autorités à relâcher la pression quant aux mesures de freinage.
En Guyane, même si les chiffres sont relativement stables, 73 cas déclarés positifs entre les 12 et 18 février dernier sur 3 250 tests réalisés, exceptés pour les décès, 3 ont été enregistrés récemment.
Malgré tout, le plan blanc dans les hôpitaux a été levé mais le couvre-feu lui est toujours en vigueur.
Au grand dam du collectif guyanais des exploitants de licence 4. Le 19 février, ils ont souhaité attiré l’attention sur leur situation.
En effet, depuis le 16 janvier dernier, un arrêté préfectoral les a contraint à la fermeture. Une décision qu’ils ne comprennent pas et qu’ils dénoncent. Sévèrement touchés depuis le début de la crise, certains, pris à la gorge, pensent même rouvrir leur établissement malgré l’interdiction.
Le reportage d'Anthony Hilaire et Martial Gritte
De son côté, le préfet Thierry Queffelec explique qu’il n’est pas contre l’ouverture des établissements, il faut pour cela que les responsables fassent des propositions de protocole :