Les autorités brésiliennes ont mené une vaste opération de lutte contre le crime organisé et le braconnage, à la frontière entre le Brésil et la Guyane française. Un homme suspecté d’être le chef d’une bande criminelle de la région a été arrêté.
Vaste coup de filet à Vila Brasil et Ilha Bela, des bourgs d’Oiapoque. Dans le cadre de la lutte contre la criminalité à la frontière entre le Brésil et la Guyane française, dans le nord de l’Amapá, la Police Civile et le Bataillon des Opérations Spéciales (BOPE) ont patrouillé pendant quinze jours. Dans leur viseur : les camps d’orpaillage illégaux.
Des armes de gros calibre, des munitions, des téléphones satellites, des émetteurs radio et près de 2000 litres de carburant ont été saisis.
Lors de l'opération, un homme suspecté d’être le chef du gang de la région a été arrêté. Parmi les chefs d’accusation, le vol, les menaces contre les habitants et la capture d’animaux sauvages.
Mercredi 16 septembre, à proximité du pont binational, les policiers et militaires ont également appréhendé une pirogue. A son bord un passeur et trois citoyens syriens en situation irrégulière qui tentaient d’entrer illégalement en Guyane.
Selon Charles Corrêa, délégué de la Police Civile d’Oiapoque, le passeur avait déjà fait l'objet d'une enquête pour trafic international de drogue. Il n'a pas de permis maritime et conduisait des immigrés clandestins essayant d'entrer illégalement en Guyane française.
Sources ; Diário do Amapá / Rede Amazônica / Polícia Civil d’Oiapoque
Des armes de gros calibre, des munitions, des téléphones satellites, des émetteurs radio et près de 2000 litres de carburant ont été saisis.
Lors de l'opération, un homme suspecté d’être le chef du gang de la région a été arrêté. Parmi les chefs d’accusation, le vol, les menaces contre les habitants et la capture d’animaux sauvages.
Un passeur interpellé
Mercredi 16 septembre, à proximité du pont binational, les policiers et militaires ont également appréhendé une pirogue. A son bord un passeur et trois citoyens syriens en situation irrégulière qui tentaient d’entrer illégalement en Guyane.
Selon Charles Corrêa, délégué de la Police Civile d’Oiapoque, le passeur avait déjà fait l'objet d'une enquête pour trafic international de drogue. Il n'a pas de permis maritime et conduisait des immigrés clandestins essayant d'entrer illégalement en Guyane française.
Sources ; Diário do Amapá / Rede Amazônica / Polícia Civil d’Oiapoque