La direction de l'établissement réfute les allégations de négligence et défend les procédures de l'hôpital, affirmant que les déclarations de Laurent Priou sont erronées et nuisent à la réputation de l'institution.
Dans un communiqué, le CHOG explique qu'il avait initialement proposé une évacuation sanitaire d'urgence vers la Martinique, conformément aux procédures habituelles et avec l'accord du service d'aide médicale urgente (SAMU). M. Priou a refusé cette option, privilégiant un transfert vers Nantes. L'évolution de son état de santé n'ayant pas été jugée urgente par le SAMU, une évacuation rapide n'a pas été organisée.
Le CHOG souligne que les évacuations sanitaires non urgentes sont généralement programmées entre sept et vingt jours.
L'hôpital réitère son engagement à améliorer continuellement la qualité de ses soins et sa gestion des urgences, tout en préservant le secret médical et la dignité de ses patients.
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