Affluence importante ce samedi 27 juillet, à l’institut d’haltérophilie de Boulari, au Mont-Dore. Les sportifs se sont retrouvés pour un challenge que les organisateurs ont placé sous le signe de la convivialité. Objectif : créer du lien, entre les participants. “On sait qu’en ce moment ce n’est pas facile, mais le sport, ça va nous permettre d’aller de l’avant”, assure Marcus Meozzi, agent de développement et entraîneur.
Pour cette reprise officielle, un format très particulier a été décidé. La compétition ne sera pas individuelle mais en équipe, soit des périodes enchaînées de quinze minutes.
La jeunesse présente en nombre
Trois clubs du territoires sont représentés : ceux de Dumbéa, du Mont-Dore et de l’olympique de Nouméa. Avec un nombre important de très jeunes inscrits, comme Varé, qui participe pour la première fois à une compétition. “J’ai beaucoup aimé et je suis fière de moi. J’aime soulever les poids, donner de la force et j’ai toujours rêvé de faire de l’haltérophilie”, révèle la jeune participante.
“Ce qui constitue la plus grande majorité des lifteurs, aujourd’hui, ce sont les jeunes. C’est encourageant. Cela veut dire que les jeunes se motivent, qu’ils ont encore de l’ambition et c’est l’avenir du pays, donc on va les encourager pour aller encore plus loin”, explique de son côté Kévin Lee Kui Thin, président de la ligue d’haltérophilie.
La présence dans le public du président du CTOS Christophe Dabin et d’un représentant de la direction de la jeunesse et des sports, Marc Hmazun, est un signe fort : la rentrée sportive est soutenue.