La compagnie Saint-Barth Executive va proposer des rotations entre la Guadeloupe et Gustavia

Avion de la compagnie aérienne Saint-Barth Executive
Le 15 avril prochain, Saint-Barth Exécutive va proposer des vols réguliers entre Pôle Caraïbes et Gustavia. Puis courant mai des vols en direction de San Juan à Porto-Rico.

Saint-Barth Executive opère déjà depuis Saint-Barthélemy avec des vols grand luxe vers plusieurs destinations caribéennes depuis l’aéroport Rémy-De-Hanean. La compagnie aérienne s’est aussi spécialisée dans le transport sanitaire. Dans quelques jours, le 15 avril prochain, Saint-Barth Exécutive va proposer des vols réguliers entre Pôle Caraïbes et Gustavia. Puis courant mai des vols en direction de San Juan à Porto-Rico.

600 euros minimum le billet

À bord, le luxe sera le mot d’ordre. Saint Barth Executive promet des vols dans une cabine business, spacieuse et confortable. Des vols opérés sur Pilatus PC-12 NGX, semblable à un jet privé pouvant accueillir jusqu’à six passagers,

Les liaisons avec la Guadeloupe vont débuter doucement le 15 avril avec une rotation par jour entre Pointe-à-Pitre Gustavia.

Et tout luxe à son prix... Pour un aller-retour, avec un bagage en soute, le billet coûtera minimum 600 euros par personne.

La compagnie ne compte pas s’arrêter là. À la mi-juin, elle va proposer un nouveau service de navettes, nommé Air Inter-îles, composé d'une flotte de quatre avions Tecnam P2012.
Ces appareils sont assurés flambant neuf et possèdent une capacité de neuf passagers.

Une flotte étoffée qui ouvre la voie une cadence de trois à cinq rotations quotidiennes entre la Guadeloupe et Saint-Barthélemy.

De nouvelles destinations dès le mois prochain

Mais, l'archipel n’est pas la seule destination au programme pour la compagnie. Dès le 16 mai, les ailes de Saint-Barth Executive vont se déployer jusqu'à Porto-Rico, avec deux vols quotidiens vers San Juan. 

Dans le ciel antillais, Saint-Barth Executive joue la carte de l’intimité et du confort.

De son côté, Winair a déjà pris son envol et relie en Fort-de-France en Martinique, l’île de la Dominique et Saint-Martin.

Quant à Air Antilles, elle observe depuis le sol, toujours dans l'attente de l’obtention de son certificat de transporteur aérien, indispensable pour remettre les gaz.