Une journée de réflexion suite à la série de faits de violence dont sont victimes les arbitres lors des matchs de football depuis quelques semaines.
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L'histoire est un éternel recommencement. Il y a plus de 10 ans l'arbitre de football Bruno Fouquet, toujours en activité, était frappé sur un stade. La ligue de football de Martinique présidée à l'époque par Alain Rapon avait arrêté les compétitions et organisé une journée de réflexion sur la violence.
Des propositions avaient été faites pour que le corps arbitral soit respecté. Il avait été même question d'un challenge du fair play. Plus de 10 ans après l'affaire Fouquet, rien n'a changé. Pas une saison sans une agression physique d'un arbitre.
Ce samedi, la ligue a réuni la famille du football dans les locaux de l'Amep, à Fort de France pour mettre un terme aux violences et incivilités impliquant les arbitres. L' heure est au consensus mais la bataille pour que les arbitres ne soient plus pris à partie est une partie difficile dans un pays ou la délinquance, les atteintes à l'intégrité physique, sont en constante augmentation.
Des propositions avaient été faites pour que le corps arbitral soit respecté. Il avait été même question d'un challenge du fair play. Plus de 10 ans après l'affaire Fouquet, rien n'a changé. Pas une saison sans une agression physique d'un arbitre.
Ce samedi, la ligue a réuni la famille du football dans les locaux de l'Amep, à Fort de France pour mettre un terme aux violences et incivilités impliquant les arbitres. L' heure est au consensus mais la bataille pour que les arbitres ne soient plus pris à partie est une partie difficile dans un pays ou la délinquance, les atteintes à l'intégrité physique, sont en constante augmentation.
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