Une réunion mensuelle à Saint-joseph, entre délégués du personnel et direction d'une entreprise cotraitante de la CFTU n'a pas eu lieu en raison de la présence d'une personne extérieure à l'entreprise selon le directeur. Les esprits se sont échauffés et un syndicaliste a été molesté.
La direction de l'entreprise de transport de Saint-joseph, dit avoir convoqué deux de ses salariés à la réunion mensuelle des délégués du personnel. La délégation des salariés est arrivée mais avec un syndicaliste de la CSTM, extérieur à l'entreprise, précise le gérant de la société qui a refusé de conduire cette réunion en présence de cette troisième personne.
Le ton est monté, les non-grévistes, exaspérés par plus de 35 jours de grève, sont intervenus. Il y aurait eu des échanges de coups de poing de part et d'autre. Le syndicaliste d'une quarantaine d'années, aurait été sévèrement frappé. Il a été pris en charge par les pompiers pour des douleurs au dos, il déclare avoir été molesté par les non-grévistes.
Selon le secrétaire général de la CSTM, joint par téléphone, les syndicalistes entendent donner une suite judiciaire à cet incident. Le gérant a eu, pour sa part un malaise mais a pu se rétablir quelques heures après cette tension qui était extrême au moment de l'arrivée de la gendarmerie. Une enquête est ouverte.
Le ton est monté, les non-grévistes, exaspérés par plus de 35 jours de grève, sont intervenus. Il y aurait eu des échanges de coups de poing de part et d'autre. Le syndicaliste d'une quarantaine d'années, aurait été sévèrement frappé. Il a été pris en charge par les pompiers pour des douleurs au dos, il déclare avoir été molesté par les non-grévistes.
Selon le secrétaire général de la CSTM, joint par téléphone, les syndicalistes entendent donner une suite judiciaire à cet incident. Le gérant a eu, pour sa part un malaise mais a pu se rétablir quelques heures après cette tension qui était extrême au moment de l'arrivée de la gendarmerie. Une enquête est ouverte.