La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Fort-de-France décide ce mardi matin (13 mars), que les trois professeurs mis en cause dans l'affaire du Ceregmia obtiennent la levée partielle de leur contrôle judiciaire. Ils vont pouvoir revenir sur le campus de Schoelcher.
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Les trois professeurs d'université, Fred Célimène, Kinvi Loghossa et Éric Carpin, mis en cause dans l'affaire de détournements de fonds au Ceregmia, obtiennent la levée partielle de leur contrôle judiciaire à la suite de la décision de la chambre d'instruction de la cour d'appel de Fort-de-France ce mardi matin (13 mars 2018). Cette décision leur permet de retrouver leurs postes à l'Université des Antilles.
Les trois mis en examen dans cette présumée affaire de détournement de fonds au laboratoire de recherche du Céregmia (Centre d'Étude et de Recherche en Économie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée), vont pouvoir retourner sur le campus universitaire de Schoelcher en Martinique.
En novembre 2017, le Conseil d’État avait cassé les sanctions prises en 2016 par le CNESER (Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche), pour vice de procédure.
Les trois hommes restent mis en examen pour détournement de fonds publics, atteinte à la liberté d’accès des candidats dans les marchés publics, le recel d’un bien provenant d’un délit, escroquerie en bande organisée et faux en écritures publiques.
Les trois mis en examen dans cette présumée affaire de détournement de fonds au laboratoire de recherche du Céregmia (Centre d'Étude et de Recherche en Économie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée), vont pouvoir retourner sur le campus universitaire de Schoelcher en Martinique.
Les trois hommes restent mis en examen
En novembre 2017, le Conseil d’État avait cassé les sanctions prises en 2016 par le CNESER (Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche), pour vice de procédure.
Les trois hommes restent mis en examen pour détournement de fonds publics, atteinte à la liberté d’accès des candidats dans les marchés publics, le recel d’un bien provenant d’un délit, escroquerie en bande organisée et faux en écritures publiques.